Canzocal est-il sans dangers ?

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Qu’est-ce que le Canzocal ?

Votre vétérinaire vous a probablement déjà prescrit une liste des médicaments possiblement efficaces pour offrir une rémission à l’arthrose de votre animal canin. Cependant, vous avez peut-être déjà noté qu’ils pouvaient offrir un minimum de réconfort sans pouvoir s’enquérir du traitement de la maladie elle-même. De ce fait, certains d’entre eux vont jusqu’à générer de nouvelles complications.

En ne traitant que les symptômes et non la cause, ces options peuvent être un danger pour la santé de l’animal à long terme. Il arrive que certains animaux développent des insuffisances rénales ou hépatiques, notamment chez les séniors. C’est là que le Canzocal a tout son intérêt puisque son objectif est la reminéralisation de l’os.

Son rôle

Le produit s’intéresse au traitement non pas des effets, mais des causes de la dégradation et l’effritement des os, des cartilages et des tissus ligamentaires impliqués dans la pathologie. Son rôle est de traiter spécifiquement quatre pathologies :

• l’arthrose qui peut être prématurée en cas de réflexes viscéro-posturaux en relation avec une alimentation non adaptée.
• l’arthrite lorsque l’inflammation de tissus ligamentaires cause la pathologie mécanique.
• l’ostéochondrite disséquante qui est une déformation des os situés sous le cartilage.
• la laxité ligamentaire, une maladie de la croissance due à l’altération des ligaments. Elle est très présente chez les jeunes chiens, le chiot et se manifeste par une hyperflexion ou une hyperextension des membres. On appelle alors ces chiens des animaux « plantigrades » ou « panards ».

Pour quels chiens ?

Le produit s’adresse à tous les chiens qui souffrent de pathologies osseuses, ligamentaires et cartilagineuses. Il est aussi bien préventif que curatif à l’état naissant. Il a des effets sur le chiot en pleine croissance, sur l’adulte comme sur le chien vieillissant ou déjà mature. Il est par ailleurs préconisé dans les situations post-traumatiques et post-opératoires en cas de besoin de reformation de l’os. C’est notamment le cas en cas de fracture.

Posologie

Canzocal s’administre de la manière la plus simple. Vous avez le choix entre le lui donner ne mélange avec un yaourt ou en saupoudrage de ses croquettes déjà enrobées d’un peu d’huile. Sachez que concernant les doses, le laboratoire a prévu une mesurette qui est fournie avec le produit.

Que ce soit pour le chiot, le junior tout comme la chienne en lactation, il faudra débuter par la moitié d’une dosette avant d’augmenter petit à petit jusqu’à atteindre la dose recommandée sur l’espace de 2 à 3 semaines.

Les résultats prouvés de ce complément

Les rapports d’étude ont conclu qu’un gramme de produit apportait 240 mg de calcium, le minéral essentiel dans la construction et le maintien du capital osseux et articulaire. À savoir que le calcium est d’autant plus important chez le chiot qui n’est pas encore développé. Le produit apporte également du phosphore à hauteur de 11 %, le minéral qui permet de capter de manière optimale le calcium.

Le complexe protéoglycane-hydroxyapatite contient également 50 % des besoins en magnésium qui tient un rôle essentiel dans la prévention contre les blessures et les fractures osseuses. Si le zinc, le cuivre, le sodium et le fluor ne sont pas présents, les protéines et leurs acides aminés sont présents à hauteur de 21 %. Les aminés sont primordiaux dans l’ensemble de l’exercice métabolique.

Quel œil les vétérinaires portent-ils sur le produit ?

Le complexe ostéo-articulaire est tout simplement le plus complet à ce jour pour bon nombre d’entre eux. Lorsqu’il est associé aux BMP (les Bone Morphogénétic Proteins), il est redoutable dans le contrôle et le développement des ostéoblastes, des chondrocytes et des fibroblastes. Ces éléments sont centraux dans le traitement des troubles osseux, y comprend dans la gestion de la croissance cartilagineuse.

Les professionnels de la santé canine ainsi que féline félicitent l’utilisation des récentes innovations des recherches sur les processus articulaires humains qui ont ouvert la porte à l’exploitation des BMP pour les troubles de l’os chez le chien et le chat par la même occasion. Le combo BMP – oligo-éléments – minéraux à pH neutre permet la véritable reconstruction organique des tissus ostéo-articulaire, action dont les médicaments ne sont pas capables.

Les collagènes présents ainsi que les protéoglycanes usent de leur fonctionnalité chondrothérapeutique afin de préserver les ligaments et le cartilage lors des mouvements. Canzocal les exploite également pour les protéger lors de la période post-traumatique ou opératoire.

Quels sont les dangers et les effets secondaires du Canzocal ?

Les différents chercheurs soulignent le fait que le produit ne connaît tout simplement pas d’effets secondaires. Il connaît toutefois des limites comme celui de ne pas pouvoir offrir de résultats immédiats étant donné qu’il s’agit d’un produit naturel. Les premiers effets bénéfiques se mettent alors en place au bout de 3-5 semaines.

L’absence d’effets secondaires s’explique partiellement par le fait que le Canzocal n’est pas un médicament. Il vous sera nécessaire de faire une cure d’un mois et demi minimum pour en ressentir les bienfaits de manière idéale. Le complément doit être couplé d’une alimentation irréprochable, un aspect trop longtemps négligé aux yeux des vétérinaires.

Quelles sont les alternatives à ce complément ?

Il est difficile de trouver une alternative équivalente tant son action est unique. En effet, le Canzocal est le seul à se concentrer sur la dynamisation de l’activité biologique à un niveau cellulaire (souches) des cartilages, des os et des ligaments. Il est une alternative bien différente de l’approche classique médicamenteuse et anti-inflammatoire de l’arthrose. Plus qu’être dans la gestion de la maladie articulaire, il est question de traitement.

Les anti-inflammatoires

Les anti-inflammatoires classiques sont donc la première alternative. On en distingue deux types : les stéroïdiens et les non-stéroïdiens :

• les non-stéroïdiens (AINS) : ils sont administrés par voie orale, souvent sous forme de comprimés à avaler avec de la nourriture en qualité de bouclier gastrique pour contourner les risques gastriques (troubles de la digestion, brûlures d’estomac).
• les cortico-stéroïdiens (AIS) : contrairement aux premiers, ils sont administrés par injection dans la zone articulaire concernée.

Les chondroprotecteurs

Il s’agit d’une molécule complémentaire initialement naturelle. On pense à la chondroïtine, la glucosamine ou encore l’acide hyaluronique. Ils sont attendus pouvoir lubrifier idéalement les articulations en nourrissant son cartilage. De ce fait, ils permettent de prendre soin du capital cartilagineux et de retrouver un certain confort de mobilité. Attention, il n’est toutefois pas question de regénérer la matière osseuse.

Les autres méthodes

Les autres techniques incluent tout d’abord la perte de poids, un des facteurs clés de l’arthrose, puis la rééducation fonctionnelle qui facilite la chondropathie mise en place dans le traitement et la gestion arthrosique. Elles comprennent également le traitement purement chirurgical lorsque les divers traitements de conservation cartilagineuse ont été infructueux. Auquel cas, différentes options peuvent être considérées selon la lésion diagnostiquée par le vétérinaire.

Notre avis sur les dangers du Canzocal

Comme précisé plus tôt, le produit ne présente pas de dangers. Il y a toutefois des précautions à prendre en compte. La première précaution concerne la transition alimentaire en douceur sur une semaine pour une cure de 10 jours en cas de crise prononcée et 30 en cas de situation modérée. Étant donné que ce complément fonctionne en synergie avec l’alimentation, les prises doivent être parfaitement indexées sur la diet du chien.

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