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Mon chien a le nez qui coule : comment réagir ?

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Ecoulement nasal chez le chien

Le nez d’un chien alerte souvent sur la bonne santé de l’animal. Il est courant de penser qu’une truffe humide et fraîche témoigne d’un chien en pleine forme. Ainsi, le nez canin reste un vrai baromètre de santé à tel point qu’un nez qui coule peut révéler bon nombre d’affections, parfois bégnines ou plus graves dans certains cas. Votre chien éternue et a le nez qui coule ? On vous dit pourquoi et comment gérer cette situation.

Ce qu’il faut savoir sur le chien qui a le nez qui coule

On parle d’écoulement nasal lorsque la truffe d’un chien coule plus que la normale. Cette affection parfois sans gravité peut aussi cacher un problème plus sérieux. Un écoulement clair et transparent comme l’eau n’est pas de nature à inquiéter. En revanche la présence de saignement, d’un mucus épais et opaque doit vous alerter.

Les causes

Les origines de l’écoulement nasal chez les canidés sont variées. Voici les principales causes de ce phénomène :

Les causes sans gravité

  • Les allergies. Les problèmes allergiques sont assez fréquents chez les chiens (comme c’est le cas aussi chez les humains). Les premières manifestations allergiques apparaissent dès l’âge de 6 mois. Si vous constatez sur votre chien des écoulements nasaux clairs et abondants au printemps, pendant la période des pollens ou des graminées, votre animal souffre probablement d’une allergie environnementale. Ces écoulements s’accompagnent généralement de manifestation asthmatiques avec parfois des démangeaisons cutanées.
  • La présence d’acariens dans les cavités nasales. Les responsables sont les pneumonyssoides canimum, des arachnides microscopiques jaunâtres mesurant entre 1 et 1,5 mm de long. Ils se logent dans les cavités nasales et les sinus du chien. Ils se transmettent principalement par contact direct entre truffes de chiens.
  • La régulation de la température corporelle du chien. Les canidés ne disposent pas comme les hommes d’un système de régulation automatique de température interne (transpiration notamment). Un nez qui coule chez le chien peut être le signe de difficultés de l’animal à se rafraîchir.
  • La mycose nasale qui ulcère les muqueuses des narines. C’est le cas de la cryptococcose, une maladie fongique consécutive à l’inhalation par le chien de fientes de pigeon ou de substances végétales en décomposition. Il faut également citer l’aspergillose canine une affection naso-sinusale généralement chronique.
  • L’obstruction nasale par un corps étranger. Quelque chose s’est coincé dans la truffe de votre chien. Cela arrive parfois quand l’animal renifle, museau au ras de sol, tout ce qui passe à sa portée. Attention aux morceaux de bois, brindilles ou… aux petites pièces de Lego ! Surveillez également les épillets qui sont de vrais dangers pour les chiens et les chats. Ces inflorescences présentes sur les graminées peuvent s’introduire dans les narines et les voies nasales puis progresser jusqu’à la trachée, les bronches ou les poumons.
  • Le rhume, la rhinite ou la grippe canine. On distingue plusieurs souches de ces maladies qui touchent souvent les chiens déjà fragilisés par une autre pathologie. Ces affections ne sont pas mortelles mais causent divers désagréments dont les écoulements du museau.
  • Les problèmes dentaires ou articulaires provoquent aussi des inflammations de la muqueuse du sinus maxillaire et des sécrétions nasales.

Les causes plus sérieuses

  • Une maladie infectieuse ou virale. C’est le cas notamment de la maladie de Carré, une affection grave due à un virus proche de celui de la rougeole humaine. Cette pathologie dont les signes s’apparentent à ceux d’un rhume affecte surtout les chiots. Elle peut être guérie mais dans certains cas graves peut dégénérer en pneumonie. La trachéobronchite infectieuse, également appelée « toux du chenil » provoque aussi des pertes liquides au niveau du nez.
  • Une affection génétique portant sur les narines. Certains chiens de races brachycéphales (à museau « aplati ») comme le bouledogue français, le carlin, le cavalier King Charles Spaniel, le Shih-Tzu ou le pékinois possèdent une face aplatie caractéristique. Ces canidés sont souvent atteints du syndrome d’obstruction des voies respiratoires brachycépales. Les voies nasales sont rétrécies et génèrent des difficultés respiratoires plus ou moins permanentes, particulièrement à l’inspiration avec parfois des écoulements nasaux. Cette anomalie génétique fragilise le cœur du chien qui se fatigue en respirant.
  • Des polypes ou une tumeur nasale. Ce genre de tumeur, bien souvent maligne affecte principalement les chiens âgés de 10 ans et plus. Les mâles sont plus touchés que les femelles. L’écoulement résulte de la détérioration de la cavité nasale.

Les symptômes

Les signes diffèrent en fonction des causes. Les écoulements nasaux peuvent s’accompagner d’autres manifestations qui doivent vous alerter sur la présence d’un problème de santé plus ou moins sérieux.

Voici les principaux symptômes :

  • S’il s’agit d’une allergie, les écoulements de la truffe s’accompagnent bien souvent de démangeaisons persistantes ou d’urticaire. Le chien se gratte, se mordille, se frotte, se lèche beaucoup.
  • La présence d’acariens dans les cavités nasales se manifeste par des écoulements et d’autres signes associés. Le chien se secoue la tête, respire bruyamment, se gratte le museau. Vous pouvez également observer des saignements de la truffe.
  • Un chien tente aussi de réguler sa température corporelle en haletant bruyamment. Ce signe se produit principalement après un exercice physique ou lors de grosses chaleurs.
  • Un chien enrhumé ou atteint de la grippe canine a le nez qui coule mais souffre aussi de toux plus ou moins persistante, de fièvre. Il est léthargique voire en état de torpeur et manque d’appétit.
  • Lorsque qu’un corps étranger est coincé dans la truffe du chien, les écoulements sont associés à des haut-le-cœur, des éternuements, des saignements de truffe. Le chien tente de déloger l’élément intrus en se grattant et en se donnant des coups de patte sur le museau.
  • Dans le cas du syndrome d’obstruction des voies respiratoires brachycépale, le chien souffre de difficultés respiratoires. Il présente une respiration sifflante ou difficile.
  • En présence d’une infection bactérienne l’écoulement est épais, opaque, vert ou jaunâtre.
  • Un chien atteint d’une tumeur dégage un écoulement purulent et malodorant. Le mucus s’écoule d’abord par une narine, puis affecte les deux. La face de l’animal peut même présenter une déformation.
  • Les chiens atteints de sinusite dentaire produisent des pertes nasales purulentes. L’animal souffre aussi de mal à la tête ce qui impacte son bien-être et son comportement. Le chien montre un abattement, une perte d’appétit et a tendance à se gratter le museau.

Dans quels cas est-ce une urgence vétérinaire ?

Un simple écoulement nasal ne constitue pas à lui seul une urgence vétérinaire. En revanche, lorsque l’écoulement nasal provient des deux narines il s’agit bien souvent d’une infection virale ou bactérienne ou d’inflammation de cavités nasales.

Si les écoulements nasaux persistent, ont une couleur anormale et si vous avez l’impression que l’animal montre des signes de détresse, n’attendez pas plus longtemps pour une prise en charge vétérinaire.

Il faut également citer le cas d’écoulements sanguins en raison d’un trouble de la coagulation. Cela arrive parfois en cas de traumatisme, d’empoisonnement par raticide ou de tumeur dans la cavité nasale.

Le diagnostic vétérinaire par un examen complet

Le vétérinaire commencera par ausculter l’animal, par inspecter l’état de sa cavité buccale notamment de ses dents et de ses gencives. Les oreilles et la gorge seront également passées en revue. L’examen de l’état général du chien se vérifie aussi par la prise de température et l’écoute de sa respiration au moyen d’un stéthoscope.

Si nécessaire des examens complémentaires aideront à confirmer le diagnostic afin d’établir un traitement adapté. Il s’agit principalement de tests et bilan sanguin, de radiographie des cavités nasales, des poumons, voire de biopsie en cas de tumeur.

Les antécédents médicaux et génétiques du chien comptent aussi dans l’établissement du diagnostic. Les races brachycéphales qui regroupent des chiens à la face aplatie sont particulièrement concernées.

Les traitements du nez qui coule

Pour chaque type d’écoulement nasal existe un traitement adapté. Lorsque vous aurez connaissance des résultats, vous pourrez commencer la médication.

Soigner les allergies

Si votre chien est sensible au pollen de graminées un traitement antihistaminique soulagera une truffe qui suinte. Ces médicaments sont spécifiques pour la race canine. Ne donnez jamais à votre chien un antihistaminique pour humain.

Traiter les acariens dans les voies nasales

Plusieurs médicaments antiparasitaires comme la moxidectine agissent efficacement contre un large éventails de parasites.

Soulager une obstruction nasale

Vous pouvez vous-même constater la présence d’un corps étranger dans les narines de votre chien. Placez simplement un miroir devant sa truffe : si, lors de l’expiration, vous remarquez plus de buée d’un côté par rapport à l’autre c’est vraisemblablement que quelque chose est resté coincé à l’intérieur.
S’il n’est pas logé trop profond, vous pouvez essayer de retirer l’élément intrusif vous-même avec une pince à épiler désinfectée.
Si vous ne vous en sentez pas capable, sollicitez l’aide d’un vétérinaire qui dispose d’outils adaptés pour ce type d’intervention qui se déroulera sous tranquillisation ou anesthésie.

Éradiquer la grippe canine

Les cas de grippe canine sans gravité disparaissent généralement en quelques jours. Lorsque les symptômes s’aggravent et qu’un mucus coloré continue de s’écouler, le vétérinaire procèdera au lavage des cavités nasales avant de prescrire un traitement à base d’antibiotiques ainsi que des anti-inflammatoires.
Dans les cas les plus graves, une hospitalisation avec pose de perfusion peut être nécessaire pour juguler l’infection.

Traiter les mycoses

En cas de mycose, un prélèvement et une analyse des cellules du nez aideront à prescrire l’antifongique le plus efficace.

Prendre en charge les polypes et les tumeurs

Lorsqu’ils sont détectés très tôt, les polypes et tumeurs nasales peuvent disparaître par :

  • Le retrait chirurgical de la tumeur
  • La radiothérapie
  • La chimiothérapie

Si la tumeur n’est pas traitée précocement, l’espérance de vie du chien se réduit à quelques mois.

Que faire pour soulager les écoulements nasaux d’un chien à « face plate » ?

Si les symptômes se limitent à un simple écoulement de la truffe mais que le chien ne souffre d’aucun problème de santé, il n’y a pas de raison de s’inquiéter. Chez certains chiens on peut déceler d’autres malformations de type fente palatine, fistule oronasale ou narines sténosées qui nécessiteront une intervention chirurgicale pour soulager l’animal.

Les écoulement dus à la maladie de Carré

Le traitement de la maladie de Carré, qui peut être mortelle chez le chiot, peut nécessiter une hospitalisation sous perfusion chez un chien de tout âge et l’administration de médication par voie intraveineuse. Le traitement de la maladie de Carré chez le chien dépend de la gravité de l’état de l’animal.

Les traitements naturels

En dehors de toute pathologie avérée, vous pouvez soulager les écoulements nasaux de votre chien de manière naturelle. Assurez-vous avant cela d’écarter toute cause sérieuse. Pour apaiser les symptômes légers plusieurs solutions existent :

  • Préparez un bain de vapeur dans un inhalateur en ajoutant quelques gouttes d’huiles essentielles dans de l’eau chaude. L’huile essentielle d’eucalyptus radiata assainit les cavités nasales en cas d’écoulement clair. Recouvrez la tête du chien d’une serviette et laissez-le respirer quelques minutes.
  • Veillez à ce que votre chien boive suffisamment pour éviter la déshydratation
  • Dans la pièce où se trouve votre chien, respectez une température moyenne. Évitez tout surplus ou insuffisance de chaleur.
  • En cas de forte chaleur l’été, optez pour un système de climatisation à l’intérieur et limitez les efforts et la dépense physique de votre chien. Donnez lui régulièrement de l’eau et laissez-le se reposer dans un endroit frais.

Le rhume

Comme c’est le cas pour les humains, les chiens peuvent attraper un rhume… Cette maladie virale impacte l’appareil respiratoire en entraînant une congestion nasale, le nez bouche et la production de mucus. Si elle n’est pas traitée à temps, une surinfection bactérienne est possible.

Les signes du rhume chez le chien

Les symptômes d’un chien enrhumé peuvent varier d’un animal à l’autre. Les signes qui doivent vous alerter sont principalement :

  • Un écoulement clair de la truffe
  • Des éternuements réguliers
  • Une toux
  • Une perte d’appétit
  • De la fatigue
  • Des muqueuses rouges et enflammées
  • De la fièvre au-delà de 39°

Pour vous assurer qu’il s’agit bien d’un rhume et pour ne pas passer à côté d’une toux du chenil pouvant dégénérer en pneumonie, consultez rapidement votre vétérinaire. S’il s’agit d’un rhume évitez tout contact avec d’autres chiens en raison du caractère contagieux de la maladie.

Quelles sont les causes du rhume canin ?

Les causes de cette maladie chez le chien sont nombreuses. Plusieurs facteurs sont susceptibles de déclencher cette affection.

  • La capacité de résistance au froid. Certaines races comme le husky sont mieux armées contre le froid et les attaques de cette maladie virale. À l’inverse, les chiens à poils courts ou certaines races comme le cocker présentent une plus grande fragilité face au rhume.
  • Un chien aux défenses immunitaires affaiblies est aussi plus exposé aux infections virales. C’est notamment le cas des chiots qui n’ont pas encore complètement développé leur système immunitaire. Les chiens âgés sont eux aussi plus sensibles car moins en capacité de lutter contre les attaques microbiennes extérieures.
  • L’environnement constitue également un facteur propice à contracter un rhume canin. Lorsque les températures extérieures baissent brutalement, le chien n’a pas le temps d’adapter son organisme au froid et se trouve donc fragilisé au regard des virus. Un environnement très humide tout comme le vent froid favorisent aussi l’apparition de la maladie. L’humidité ne fait pas bon ménage avec le rhume !

Comment soigner le rhume canin ?

Le vétérinaire mettra en place un traitement adapté composé d’antibiotiques afin d’aider le chien à lutter contre l’infection.
Pendant toute la durée de la maladie, il convient d’éviter les sorties par temps froid.
Mettez de l’eau fraîche à disposition du chien qui doit régulièrement s’hydrater.
La chaleur, le calme et le bien-être du chien sont indispensables à la guérison. Optez pour un tapis chauffant sur lequel le chien pourra se reposer bien au chaud. Si vous sortez ne serait-ce que quelques minutes pour permettre à votre animal malade de faire ses besoins, pensez à bien le couvrir avec un vêtement pour chien.

Comment moucher un chien ?

Un chien ne se mouchera jamais comme un humain. La seule manière d’extraire les sécrétions du nez d’un chien c’est celle qui consiste à l’aider par des bains nasaux à base d’eau saline (sérum physiologique). Injectez si possible 3 fois par jour une dose de sérum dans chaque narine. Le chien va naturellement souffler par le nez et dégager ainsi les saletés

À titre préventif…

D’une manière générale, les doudounes pour chien, les manteaux ou les pulls constituent aussi une excellente prévention contre les rhumes. Pensez-y avant que votre petit compagnon tombe malade.
L’homéopathie est par ailleurs très efficace pour booster les défenses immunitaire du chien et lui éviter un rhume.

La rhinite

On appelle rhinite canine une inflammation de la muqueuse nasale et des sinus paranasaux. Toute infection affectant la cavité nasale peut ainsi se propager jusqu’aux sinus.

On distingue 2 formes de cette maladie chez le chien : la rhinite allergique et la rhinite infectieuse qui, loin d’être anodine, peut dégénérer en pneumonie. La rhinite dans sa forme aigüe disparaît en général rapidement. La rhinite chronique se prolonge et récidive régulièrement. Il est donc essentiel de la soigner le plus vite possible !

Les signes de la rhinite chez le chien

Les symptômes les plus courants de la rhinite sont :

  • Un écoulement nasal plus ou moins épais, de couleur jaune ou verdâtre
  • Des éternuements
  • Une conjonctivite
  • Des difficultés respiratoires
  • Une diminution de l’appétit

Les signes cliniques de cette affection varient en fonction de l’origine de la maladie.

Dans le cas d’une rhinite allergique on constate plus spécialement :

  • Des écoulements nasaux
  • Des éternuements forts et répétés
  • De la conjonctivite

Dans le cas d’une rhinite infectieuse, on remarque :

  • Des sécrétions nasales plus ou moins épaisses, de couleur jaune ou verdâtre
  • Des écoulements oculaires, voire de la conjonctivite
  • De la fièvre
  • Des troubles respiratoires
  • De la toux
  • Des ganglions enflés (signe caractéristique d’infection)
  • Une perte d’appétit
  • Des vomissements
  • Léthargie, grande fatigue

Quelles sont les causes de la rhinite canine ?

La rhinite allergique, comme son nom l’indique, est provoquée par des facteurs allergènes tels que le pollen, les acariens, la fumée ou certains produits allergisants utilisés dans la maison.

La rhinite infectieuse est consécutive à une attaque bactérienne ou virale. Elle peut aussi être provoquée par des champignons ou la présence de corps étranger dans les sinus.

Comment soigner la rhinite canine ?

Les rhinites allergiques se traitent au moyen de corticoïdes, d’antihistaminiques et de décongestionnants nasaux qui améliorent le confort de l’animal.

Les rhinites infectieuses sont soignées par des antibiotiques destinés à aider le chien à lutter contre l’infection. En parallèle, maintenez l’animal au chaud. Veillez à ce qu’il s’hydrate suffisamment. Il doit aussi bien se reposer pour guérir plus rapidement.

Votre chien éternue ET a le nez qui coule ? Quelle signification ?

Le « nez qui coule » est un signe très souvent associé à l’éternuement, un réflexe instinctif pour se débarrasser d’écoulements ou de corps étranger dans les narines. Chez le chien comme chez l’humain, ce mécanisme de défense de l’organisme aide à l’expulsion des particules, des agents irritants ou des microbes susceptibles de causer une infection.
Si le nez de votre chien coule ET que l’animal éternue, ces 2 manifestations réunies peuvent revêtir diverses origines :

  • Une rhinites infectieuse en raison de la contamination par des virus et bactéries qui provoquent des sécrétions nasales plus ou moins denses, de couleur jaune ou verdâtre.
  • La présence de corps étranger venant se loger dans les cavités nasales (épillets, brin d’herbe, etc..)
  • Des polypes ou tumeurs nasales constituant des masses qui entraînent progressivement une obstruction des voies respiratoires.
  • Une aspergillose, une maladie due à des champignons.

Notre avis

D’une manière générale, un écoulement nasal clair, transparent et en faible quantité ne doit pas susciter d’inquiétude. Dès que l’aspect des sécrétions s’épaissit, que le mucus devient opaque, prend une couleur jaunâtre, verdâtre ou noir et/ou en présence de saignements, il y a lieu de s’inquiéter.
Si par ailleurs votre chien manifeste une perte d’appétit qui dure depuis plus de 24 heures, n’attendez pas pour consulter un vétérinaire. Un écoulement de la truffe peut cacher diverses pathologies, plus ou moins graves.

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