Les friandises peuvent-elles être dangereuses pour les chiens ?
Bien qu’elles soient très largement reconnues pour leurs bienfaits sur le bien-être mental et physique, certaines friandises peuvent présenter des dangers pour la santé animale qui ne sont pas à négliger.
Un taux de sucre parfois excessif
Elles peuvent en premier lieu afficher des quantités élevées de sucre ajouté. Cette consommation excessive, notamment dans les produits industriels, peut être à l’origine de problèmes de santé tels que l’obésité ou encore le diabète. On pense également aux troubles digestifs, voire hépatiques.
Des composants chimiques nocifs
De nombreux encas non Premium intègrent de surcroit des composants nocifs et des conservateurs artificiels à l’instar du sulfure de sodium. Ces substances peuvent être hautement toxiques à forte dose et provoquer certains troubles, allant de simples maux d’estomac à des maladies graves comme les tumeurs et le cancer.
Des manquements nutritionnels
La fabrication des gourmandises de moindre coût implique souvent des sous-produits de mauvaise qualité. Leur faible valeur nutritionnelle peut entraîner des carences chez les animaux ou, au contraire, des excès. Les chiots seront les premières victimes, étant donné l’équilibre alimentaire et l’apport calorique quotidien bien précis dont ils ont besoin pour se développer harmonieusement.
Un risque de dépendance
Conçues pour être très appétissants, certains encas dits de « gourmandise » peuvent aussi créer une dépendance. Cette addiction peut non seulement conduire à une surconsommation de calories, mais aussi d’additifs, augmentant les risques de troubles d’ordre métabolique. Sur le plan comportemental, il existe également des retombées puisque les canins auront tendance à ne répondre qu’à ces encas riches, ignorant les récompenses verbales.
Des lésions dentaires possibles
Les dangers ne proviennent pas toujours uniquement des options industrielles. Certains types de friandises naturelles, comme les os à mâcher ou les sticks dentaires trop durs, peuvent causer des lésions, notamment dentaires. Par exemple, les os peuvent se coincer dans la mâchoire et les gencives. Il n’est pas rare qu’ils se brisent en petits morceaux, à l’origine d’obstructions intestinales parfois mortelles.
Le cas de la contamination microbienne
Les extras naturels de mauvaise qualité peuvent être contaminées par des agents pathogènes comme la Salmonelle et E. coli. Ces contaminations courantes dans le monde agroalimentaire peuvent toutefois mettre la vie des chiens en danger, notamment les plus fragiles.
Les dangers selon le type d’encas
Tous les encas ne permettent pas toujours un grignotage sain et sans risque. C’est notamment le cas des os à mâcher ou encore des oreilles de porc qui sont bien connus de la liste des encas controversés.
Les os à mâcher
Pour bon nombre de propriétaires, les os, y compris en peau de buffle ou en cuir brut, seraient le reliquat de la nourriture d’antan des chiens sauvages. Sous prétexte que les loups en rongeaient, les options non cuites et dures ne devraient pas poser de problème. Pourtant, cela n’est pas toujours vrai.
Risques de cassure
Il existe de véritables risques de cassure et ainsi de fractures dentaires, tout comme de blessures d’organes une fois les morceaux tranchants ingérés. C’est la raison pour laquelle la FDA ne recommande pas certains os à mâcher, au point d’avoir émis un avertissement officiel.
Risques d’infection microbienne
Bien que les os crus soient parfois utilisés dans l’alimentation BARF, ils peuvent abriter des bactéries susceptibles de causer de graves infections. Ces infections peuvent ensuite atteindre les intestins où la contamination peut encore s’aggraver jusqu’à altérer les parois intestinales.
Les avis des vétérinaires
D’après une majorité de vétérinaires, les os constitueraient toujours un danger pour les chiens, qu’ils soient crus, cuits, durs ou encore creux. Pour la Docteure Laurence Dillière Lesseur, vétérinaire comportementaliste et cofondatrice du site Catedog, les os à mâcher constituent une bonne alternative aux sticks dentaires.
Nonobstant, les recherches du vétérinaire Beth Turner, spécialiste en médecine animale préventive, mettent en avant depuis plusieurs années les risques majeurs des éclats d’os pour les mâchoires, l’estomac, l’intestin ou encore la zone rectale. Ils seraient ainsi à l’origine d’épisodes sévères de constipation, ainsi que d’étouffement chez les chiens. En ce qui concerne l’os en peau de buffle, le problème viendrait de sa texture dure en début de mastication qui devient finalement molle et proche du chewing-gum au fur et à mesure, augmentant significativement le risque d’étouffement.
Les cornes de buffle
Les cornes de buffle sont généralement perçues comme des alternatives formidables aux os cuits en raison d’un risque d’éclatement divisé par cinq.
Que ce soit selon les fabricants, les consommateurs ou certains vétérinaires, elles seraient unes des meilleures friandises hypoallergéniques et favorables à l’hygiène dentaire. De plus, leurs bienfaits seraient également nutritionnels, notamment en fournissant du calcium et des protéines supplémentaires en raison de leur composition riche en kératine.
Risques de factures dentaires
Il arrive qu’au lieu de mâchouiller la friandise, le chien, notamment doté d’une puissante mâchoire, se décide à « croquer » dans l’encas. Compte tenu de la dureté de la corne de buffle, un tel comportement peut causer la fracture des dents et engendrer de vives douleurs, que seule une mise sous médicaments et une chirurgie peuvent résoudre.
Risques de blessures buccales
En cas de fragmentation de la corne sous la puissance de la mâchoire canine, les problèmes dentaires ne sont alors pas la seule préoccupation. Même si le risque est minime, il arrive que le chien puisse s’étouffer ou se blesser avec un petit éclat de corne. Mais encore, le risque reste ici bien faible.
Les avis des vétérinaires
Les experts sont très partagés sur la question, puisque bon nombre d’entre eux valorisent la friandise naturelle comme étant une option intéressante pour les chiens à la recherche de saveur et de naturalité.
Pour Alain Berger, vétérinaire à Délémont et diplômé de l’Université de Berne en Suisse, il s’agirait d’une excellente gourmandise de mastication, sûre et durable. Même opinion chez Sophie Lambert, experte-vétérinaire qui affirme que les cornes de buffle sont idéales pour occuper sainement les animaux, tout en leur fournissant des nutriments essentiels.
Sans nier les bienfaits de la friandise, Jo de Klerk réfute le portrait sans faute de la corne. Selon la vétérinaire, le risque de cassure dentaire est bel et bien présent et ne devrait ni être négligé ni occulté. En effet, la fracture peut avoir des conséquences bien plus graves encore que la simple altération d’une dent, étant donné qu’au centre de celle-ci se trouvent la pulpe et ses nerfs. Il est ainsi essentiel de bien les choisir et surtout de toujours opter pour des friandises adaptées au chien et à son profil de mastication.
Les oreilles de porc
Les oreilles de porc sont un autre sujet qui anime la controverse.
Risques pondéraux et cardiaques
Celles-ci contiennent une grande quantité de matières grasses susceptibles de causer l’obésité. Chez certains canins, cette dose déraisonnable peut aller jusqu’à causer des irritations, notamment au niveau du pancréas, avec comme symptômes courants la diarrhée, les problèmes cardiaques, les vomissements ou encore la léthargie.
Risques d’étouffement
En raison de leur forme et de leur taille, le risque d’étouffement est également bien présent. Cela peut notamment survenir dans l’estomac ou encore dans la gorge, notamment si les friandises se montrent trop rondes ou trop grosses pour les conduits. Le risque est également accru chez les sujets qui ont tendance à avaler sans mâcher.
Risques de blocage intestinal
Un autre danger guette le chien qui consomme cette friandise. Il s’agit de l’occlusion intestinale. Lorsque les morceaux sont une nouvelle fois trop gros ou encore insuffisamment mâchés, les oreilles peuvent se coincer dans les recoins de l’intestin et causer un blocage plus ou moins grave.
Les avis des vétérinaires
Bien que la surconsommation de graisses soit effectivement un problème soulevé au sein du cercle vétérinaire, un autre danger potentiel est également évoqué, celui de l’existence de bactéries pathogènes.
Par exemple, les morceaux de porc insuffisamment cuits peuvent donner lieu à une infection à la trichinose. Selon l’Association canadienne des médecins vétérinaires, les oreilles de porc peuvent aussi contenir la bactérie Salmonelle. Selon les chercheurs en études animales, Jagoda Kępińska-Pacelik et Wioletta Bienne, les dangers microbiologiques concerneraient notamment les produits de mauvaise qualité.
Toutefois, le risque semble accru en ce qui concerne l’oreille de porc en raison de la faible autorésistance de la race aux bactéries.
Les cous de poulet
Les parties du poulet peuvent être des friandises très bénéfiques sur le plan nutritionnel. Outre des protéines riches en acides aminés, on y trouve également de la glucosamine, du calcium et du phosphore. Les os du cou sont également une source riche en fibres alimentaires, idéales pour la digestion. Cependant, des études réalisées sur le danger des friandises ont relevé des préoccupations tout aussi importantes concernant le manque de sécurité de certains encas.
Risques d’étouffement
Le premier risque concerne la taille souvent menue des os qui les rend trop faciles à avaler, notamment chez les chiens de petite taille ou les sujets agités. Une fois ingérés, il n’est pas rare qu’ils puissent se coincer dans la gorge ou se loger, sans pouvoir en sortir, dans le tube digestif.
Risques de contamination microbienne
Si l’obstruction décrite peut être mortelle, un autre problème plane sur la friandise. Il s’agit des risques de contamination à la Salmonelle ou encore au Campylobacter. Généralement, une bonne cuisson des aliments suffit à tuer ces bactéries.
Mais dans le cas de certaines friandises maison, la cuisson peut ne pas être optimale et le risque, bien plus important. En cas de contamination, les premiers symptômes peuvent inclure les vomissements, la diarrhée ou encore les inflammations abdominales.
Les avis des vétérinaires
Selon l’expert canin Alexandre Gonzalez, collègue de Benjamin Baldwin, la simple cuisson des cous ne suffit pas toujours à éliminer le risque de contamination. Le respect des températures est très important et le risque n’est ainsi pas écarté tant que toutes les précautions en matière de sécurité n’ont pas été respectées. Cela implique de faire montre d’une certaine rigueur si le propriétaire de chien se décide à concevoir des encas lui-même.
Selon lui, cela implique également de se montrer vigilant quant aux ajouts dans la composition en ce qui concerne les cous de poulet qui sont vendus en commerce. En effet, il rappelle que certains produits seraient assaisonnés ou encore traités, à l’instar des friandises venant des hormones chimiques, justifiant des doses parfois excessives de sodium. Or le sodium, en quantité déraisonnable, est susceptible de causer des déséquilibres électrolytiques et ainsi, des troubles d’ordre rénal.
Pour la Dre Jo de Klerk, vétérinaire diplômée du Royal Veterinary College de Londres, cela ne fait aucun doute : les cours de poulet présentent plusieurs risques pour la santé et constitueraient un facteur aggravant de développement de la polyradiculonévrite aiguë.
La provenance serait aussi mise en exergue. C’est notamment le cas de la Clinique Vétérinaire du Sillon à Blain, Pays de la Loire, qui met en garde contre les friandises vendues en animalerie qui sont importées de Chine. Certaines ne seraient tout simplement pas aux normes, engendrant perte d’appétit et perte de poids chez les animaux qui finissent dans certains cas par devoir être hospitalisés pour lésions internes aggravées.
Le bois de cerf
Fruit des bois de cervidés qui tombent chaque année dans les forêts de l’Europe centrale et de l’Est, le bois de cerf est une gourmandise de mastication naturelle très populaire chez les chiens.
Dur à très dur, il est essentiellement destiné aux mâchouilleurs experts à puissants. Il se distingue par sa richesse en nutriments essentiels, sa dose de minéraux, dont le calcium pour les os et les dents, ainsi que sa faculté à gratter la plaque dentaire en raison de sa texture. Au-delà de ces qualités, le bois de cerf n’est toutefois pas sans risque.
Risques de brisure
Bien que cela reste relativement rare, le bois de cerf peut se briser en petits morceaux susceptibles de perforer le tube gastrique ou intestinal de l’animal. On se méfiera notamment des bois déjà fissurés, plus fragiles et qui se cassent plus facilement. Lorsque la blessure infligée est notable, il est possible que seule une intervention chirurgicale soit en mesure de soulager l’animal.
Risques de fracture dentaire et d’infection bactérienne
Les bois étant très fermes, les chiens à la mâchoire plus faible et fragile comme les chiots et les vieux chiens ne sont pas à l’abri d’une dent cassée. Ironiquement, les chiens destructeurs sont aussi à risque dans la mesure où certains se montrent impatients lors de la mastication et peuvent être tentés de croquer directement dans l’encas plus dur que leurs dents. Au risque de fracture, on ajoutera alors celui d’abcès et d’infection.
Risques d’étouffement
En cas d’éclatement, la perforation n’est pas le seul danger, puisque le chien peut aussi s’étouffer avec un des débris. Cela se produit notamment lorsque la friandise devient trop petite pour être mastiquée et très facile à ingérer en une seule fois, comme c’est également le cas pour bon nombre d’autres friandises naturelles.
L’avis des vétérinaires
Les spécialistes sont les premiers protagonistes à reconnaître les bienfaits de l’encas sur la santé générale du chien lorsque le bois est de qualité supérieure. Source de protéines et de minéraux, il est également utile à l’entretien dentaire grâce à sa texture et à son calcium. Toutefois, Anna Burke, experte pour l’American Kennel Club, met en garde en rappelant que les inconvénients de la friandise sont aussi à prendre en compte lorsque vous choisissez les encas de votre chien.
Burke et le Dr Jean-Philippe Corlouer, de la clinique vétérinaire de Frégis, mentionne notamment les risques de fractures dentaires et d’abcès qui peuvent évoluer en infection plus généralisée s’ils ne sont pas traités. Dre Hannah Godfrey, vétérinaire expérimentée, ajoute que les chiots et les seniors sont les sujets les plus à risque en raison de leur fragilité dentaire et immunitaire.
Il n’est toutefois pas question de tirer un trait sur les avantages de l’encas. C’est pourquoi Dre Julie Buzby, vétérinaire pour animaux, estime que la meilleure manière pour le chien de profiter des atouts du bois est de miser sur une utilisation responsable et adaptée mise en place par le propriétaire, grâce à la maîtrise des atouts et des dangers de la gourmandise.
Le cas du Dentastix
Les Dentastix sont des friandises à mâcher actuellement développées par la marque Pedigree. Recommandées par une partie des vétérinaires, elles sont surtout très appréciées des propriétaires d’animaux pour leur praticité et leur efficacité potentielle sur l’hygiène dentaire de leurs chiens.
Risques nutritionnels et pondéraux
Cependant, la liste des ingrédients ne fait pas l’unanimité, puisque Dentastix contiendrait une abondance de sources allergènes comme le soja, le maïs ou encore le blé, ce qui expliquerait sa charge glycémique et calorique. Le produit affiche également des sous-produits animaux de qualité douteuse et très peu digestibles.
Les avis des vétérinaires
Selon les vétérinaires, à l’image de Benjamin Baldwin, expert canin, Dentastix peut effectivement améliorer l’état de santé dentaire, mais au prix de certains risques comme l’ingestion de gros morceaux susceptibles de causer des blocages digestifs. Le spécialiste évoque également la surdose d’amidon qui représente un véritable danger pour les canins présentant des sensibilités alimentaires. Les grands mâchouilleurs peuvent également souffrir de dents cassées ou d’altérations gingivales en croquant trop fort dans la friandise.
Sarah Benton, vétérinaire dentiste, ajoute également que le produit Pedigree n’est pas exempt de risques pour la prise de poids en raison de sa lourde charge glycémique, semblable à un morceau de sucre entier.
Les critères d’une gourmandise sans risque
L’important lors de la sélection des friandises pour votre chien est de savoir comment distinguer les bonnes options des mauvaises.
Généreuse en valeur nutritionnelle
Ne vous contentez pas d’une friandise savoureuse, car dans l’idéal, tout bon produit alimentaire devrait aussi être nutritif. Il faudra donner la priorité aux encas riches en protéines de qualité, en vitamines, en minéraux, ainsi qu’en compléments adéquats comme la glucosamine en cas de troubles articulaires ou le psyllium pour traiter les faiblesses digestives.
À l’inverse, il sera nécessaire d’écarter les taux inadaptés, l’amidon à profusion, les arômes et les additifs chimiques afin d’éviter que la friandise ne devienne un facteur négatif pour la santé.
Respectueuse des allergies et des sensibilités digestives
Afin d’éviter les mauvaises réactions de l’organisme, il est recommandé de se tourner vers des friandises qui ne contiennent pas d’allergènes courants comme les produits laitiers ou le blé. Cela ne signifie pas que tous les chiens réagissent à ces composants, mais que le risque est très présent. Lorsque le choix se présente, il est toujours préférable de sélectionner un encas hypoallergénique et de composition minimaliste.
Ni trop petite ni trop grande
En fonction du type de friandises, la taille et la forme importent considérablement. La taille peut avoir des conséquences sur le risque d’étouffement, tandis que d’une forme inadéquate peut amener le museau ou encore la langue à plus facilement se coincer dans la friandise.
Sécurisante pour la mastication
Cela concerne surtout les friandises à mâcher qui présentent souvent des risques d’obstruction intestinale ou encore du tube digestif. C’est pourquoi il est impératif de veiller à ce que les morceaux soient, une nouvelle fois, d’une taille et d’une forme adaptées, ainsi que suffisamment durs pour ne pas se briser.
Toutefois, les vétérinaires estiment que les encas à mastiquer ne doivent pas non plus se montrer plus durs que les dents elles-mêmes, ce qui laisserait entrevoir un risque de lésions à force de mastiquer.
Adaptée au niveau de mastication
Le niveau de mastication est un critère majeur lors de la sélection de certaines friandises, notamment naturelles. Si un Chihuahua ou un Shih Tzu pourra se contenter de petits dés de poisson mou, un Cane Corso ou un Dogue allemand pourra pour sa part exiger un encas pour chien destructeur. Il est alors important de connaître le profil de mastication du chien afin de choisir le produit en conséquence et ainsi assurer la pleine sécurité de l’animal.
Ultra Premium Direct – 28 bâtonnets à mâcher pour chien
La marque française basée à Agen propose ici des bâtonnets à mâcher 100 % d’origine végétale et sans céréales. Enrichie en racine de réglisse et en persil, la friandise se montre délicieuse, originale, peu calorique, tout en assurant une parfaite digestibilité.
Elle contient également de l’ascophyllum nodossum, une algue riche en iode et efficace contre la plaque dentaire. On lui attribue par ailleurs des qualités détoxifiantes, notamment en cas d’excès de masse graisseuse.
Prix
Le lot de 4 paquets de 7 bâtonnets s’élève à 10,90 €.
Avis
Ce produit Ultra Premium Direct est non seulement sécurisant, mais aussi très efficace grâce à des éléments complémentaires comme le fenouil et les algues brunes. Pour une haleine plus fraîche, la marque s’est également penchée sur l’huile d’eucalyptus, connue pour ses propriétés rafraîchissantes.
Notre avis et nos recommandations
S’en tenir à de petites quantités peut être une bonne manière de limiter les risques, mais cela ne les écarte pas pour autant. Il est surtout important de ne pas négliger les premiers signes qui devraient vous alerter quant au manque de sécurité, sous prétexte que votre chien n’a jamais eu d’accident.
Éviter les accidents
De nombreux propriétaires se montrent en effet négligents pour la simple et bonne raison que leur canin n’a jamais fait face au moindre accident relatif à une occlusion intestinale ou à une brisure d’os.
Il ne s’agit pourtant que d’une fois pour mettre en péril la santé de l’animal, au même titre qu’un retournement d’estomac, par exemple. Il est important de prendre en compte le niveau de risques selon le profil, mais aussi en fonction du type d’entre-repas dont il s’agit.
Tester les friandises
Comme nous l’avons mentionné plus tôt, les chiens ne sont pas égaux face au danger. Certains se montrent plus vulnérables à la contamination bactérienne, tandis que d’autres seront plus susceptibles d’être concernés par l’altération dentaire en raison de leur force de mastication.
Aucun canin n’est cependant épargné par le risque. C’est pourquoi il est bon de recourir à certaines astuces qui permettent de « tester » les friandises. On parle notamment du « test de l’ongle » qui consiste à confirmer qu’une friandise cède sous la pression de l’ongle du pouce. Si l’ongle ne laisse aucune trace, la friandise est alors trop dure pour être consommée.
FAQ
Est-ce mauvais de donner des friandises aux chiens ?
En soi, donner des friandises n’est pas mauvais, bien au contraire. Les encas peuvent être sources de nutriments, servir de compléments alimentaires et renforcer les liens affectifs entre le propriétaire et son chien, sans compter l’impact positif sur le bien-être. L’essentiel est néanmoins de bien les choisir.
Quel aliment est fortement déconseillé au chien ?
Les sous-produits animaux et céréaliers, ainsi que les restes de table et les ingrédients toxiques comme le chocolat, les oignons, l’avocat ou encore les noix seront à bannir.
Quels sont les effets secondaires des friandises pour chiens ?
Les effets secondaires des encas les moins qualitatifs incluent l’étouffement, le blocage gastro-intestinal, le surpoids, l’obésité, les troubles digestifs ou encore la contamination microbiologique.
Par quoi remplacer le Dentastix ?
Selon les experts, il serait possible de remplacer la friandise Pedigree par des sticks de viande, de la peau de cerf et surtout du fromage de Yak. Combien de friandises par jour pour un chien ?
Le dosage recommandé est fixé à 1 par jour lorsque le produit est disponible à l’unité ou encore 10 % de la ration énergétique quotidienne.
Quelle est la friandise la plus saine pour un chien ?
Il serait difficile d’établir une seule friandise qui soit considérée aussi bien par les chiens, par les propriétaires que par les experts, comme la plus saine. En effet, il existe plusieurs friandises saines et bénéfiques pour la santé selon le profil médical, physiologique ou masticatoire de l’animal. Le cou de dinde, par exemple, est une alternative intéressante aux cous de poulet, car il est plus gros et oblige le chien à mâcher correctement, ce qui en augmente la sécurité tout en préservant la santé. Les bois de cerf sont aussi excellents pour travailler les dents sans prendre un gramme, tandis que les sprats sont particulièrement riches en oméga 3. Il existe ainsi autant de meilleures options que de chiens.