Quelle alimentation pour un chien en surpoids ?

Les causes et conséquences d’un chien en surpoids

Le surpoids chez le chien se caractérise par un excès de tissu adipeux, généralement le produit d’un déséquilibre entre l’apport calorique et la dépense énergétique. Ce rapport instable peut être causé par divers facteurs, agissant seuls ou en combinaison. Il est néanmoins essentiel de les identifier et de les comprendre pour appliquer des solutions alimentaires adaptées.

Les causes alimentaires

Un régime inadapté aux besoins spécifiques du chien peut facilement conduire à un surpoids, même si l’animal n’est pas particulièrement gourmand. La ration alimentaire peut être trop riche en calories par rapport à son niveau d’activité physique, ce qui entraîne l’accumulation de la couche de graisse.

Il peut aussi s’agir d’un excès de friandises ou encore de l’intégration d’ingrédients impropres à la diète canine. Auquel cas, la faute sera souvent accordée aux restes de table, riches en produits frits, gras ou assaisonnés.

Un chien adulte est également censé bénéficier de deux repas par jour, comme le rappelle le Dre Laurence Dillière Lesseur, vétérinaire comportementaliste. Pourtant, il n’est pas rare que certains propriétaires divisent la ration quotidienne en une multitude de repas pour alléger les charges et faciliter l’assimilation des repas. Le chien est toutefois différent du chat et ne grignote pas. Un excès de petits repas tout au long de la journée peut perturber son métabolisme et déstabiliser sa régulation de la satiété.

Enfin, une mauvaise transition alimentaire peut aussi avoir un impact négatif sur ce même métabolisme.

Les causes athlétiques

Le manque d’exercice peut facilement menacer les efforts faits sur le plan alimentaire. Les chiens d’intérieur, souvent moins actifs, sont les premiers à afficher un risque accru. Notons également que certaines races ont des besoins énergétiques plus élevés que d’autres et nécessitent une activité physique plus importante pour maintenir un poids de forme idéal.

À certaines saisons, le chien aura tendance à se montrer moins actif qu’à d’autres. C’est le cas de l’hiver ou encore des pics de chaleur. Nous pourrions aussi mentionner les périodes d’inactivité intensive pour les chiens de chasse ou de compétition. Pour ces races, il sera impératif de retrouver une alimentation plus standard lorsqu’ils ne sont pas en activité, afin de ne pas excéder leurs besoins caloriques au repos.

Les causes physiologiques

Certains facteurs physiologiques peuvent également influencer le poids du chien et le rendre plus susceptible au surpoids. Par exemple, les Bichons frisés, les Cockers ou les Labradors Retrievers ont une prédisposition génétique au surpoids.

À partir de 5 ans, les animaux voient leur métabolisme ralentir naturellement, ce qui augmente en contrepartie le risque d’embonpoint si la diète n’est pas adaptée.
Enfin, la stérilisation entraîne une diminution des besoins énergétiques du chien, que l’appétit augmente ou non.

Enfin, notez que les chiennes en gestation ou encore allaitantes présentent généralement une plus grande disposition au surpoids, car elles nécessitent une alimentation plus riche en calories. De ce fait, lorsqu’elles mettent bas, vous devez impérativement faire attention à ce que le retour à une nutrition normale soit fait progressivement afin de ne pas provoquer de prise pondérale post-gestation.

Les causes médicales

Il arrive également que le surpoids ou l’obésité soit aggravé par des conditions médicales sous-jacentes. Certains troubles, comme l’insulinome, une tumeur pancréatique ou l’hypothyroïdie, altèrent le métabolisme de l’animal de compagnie et contribuent significativement à l’obésité.

Certains médicaments, comme les anticonvulsivants à base de phénobarbital, peuvent perturber la sensation de satiété et favoriser la prise de poids. Sans compter l’utilisation prolongée de corticoïdes, notamment les glucocorticoïdes, bien connus pour causer des dépôts graisseux.

Les chiens qui souffrent de problèmes de santé de nature articulaire peuvent aussi être davantage sujets à l’obésité en raison d’une réduction inévitable de leur activité athlétique. Bien sûr, tous les chiens qui souffrent d’arthrose ou encore de dysplasie ne prendront pas de poids, car un régime alimentaire adapté peut facilement les aider à surmonter cette tendance. Cependant, si vous n’adaptez pas son alimentation à ses besoins réels, sachez que votre compagnon peut facilement être exposé à un risque de rondeurs.

La même logique s’applique à un chien convalescent ou à la plupart des vieux chiens dont le métabolisme ralentit et la santé faiblit, les contraignant à se montrer plus sédentaires.

Comment remarquer une perte de poids ?

Si vous pensez votre chien obèse ou au moins en surpoids, passez votre main sous son pelage afin d’atteindre ses côtes. Si vous ne réussissez pas à les atteindre à moins d’appuyer fort, cela signifie qu’une couche de graisse s’est formée et qu’il a ainsi pris du poids. Si vous sentez toujours ses os comme avant, il présente très probablement un poids santé idéal.

Vous pouvez également observer votre chien en plongée pour noter s’il vous paraît rond au niveau du bassin. Toutefois, ce test se montre souvent moins fiable que le premier.

Quelles conséquences ?

Si le surpoids peut être causé par une condition médicale, il peut aussi en causer l’apparition, parmi lesquelles :

• diabète ;
• troubles cardiaques ;
• arthrite ;
• cancers ;
• hypertension artérielle ;
• maladies pulmonaires ;
• troubles immunitaires.

Comment faire maigrir un chien par l’alimentation ?

Votre premier réflexe doit être de vous poser les bonnes questions. Quel type d’alimentation correspond à son gabarit et à ses besoins nutritionnels ? Doit-il faire l’impasse sur les céréales ou bénéficier d’une plus grande hydratation ?

Interrogez-vous sur son type d’alimentation

Si vous nourrissez votre chien à l’alimentation sèche, êtes-vous certain que le profil glycémique est adapté ? En fonction de son profil, une réduction des glucides et une augmentation des protéines peuvent être envisagées pour améliorer son bien-être et optimiser son espérance de vie. S’il est stérilisé, il est possible que la pâtée soit mieux adaptée afin de lui faire perdre des kilos. Encore faut-il qu’elle soit très peu riche en graisses.

Si toutefois votre canin est naturellement actif, les croquettes devraient parfaitement lui convenir. Il ne suffira que de rechercher certains critères et le renforcement en L-carnitine ou encore en oméga 3 et en acide linolénique.

Examinez les encas

Une fois que vous êtes certain que ses croquettes ne sont pas trop caloriques ou que sa pâtée est suffisamment protéique pour accélérer son métabolisme, posez votre regard sur ses friandises.

En consomme-t-il trop ? S’agit-il de lamelles de viande trop grasses ? Devrait-il s’essayer aux bois ou aux cornes ? Vous devez considérer toutes les possibilités afin de lui offrir autant d’appétence tout en réduisant les apports.

Mettez en place une transition alimentaire douce et respectueuse

Il est également essentiel que la transition soit particulièrement douce pour le système digestif. Toute provocation gastrointestinale peut porter atteinte à la qualité de l’élimination et du transit, ce qui favorise par extension l’accumulation des graisses ainsi que des déchets métaboliques.

En ne prêtant pas attention à une transition progressive, vous pourriez participer à une prise de poids directe ou encore indirecte à travers le développement de troubles urinaires.

Quelle alimentation adaptée envisager ?

Tout comme pour les humains, la perte de poids chez le chien repose sur un principe simple : créer un déficit calorique sans manquement à l’apport nutritionnel.

Des protéines animales pour un métabolisme optimisé

Les muscles jouent un rôle essentiel dans la perte de poids chez le chien. En effet, ces tissus actifs brûlent des calories même au repos. De plus, leur développement stimule considérablement la dépense énergétique.

Favorisez les viandes maigres telles que la dinde, le poulet et le poisson. Ces aliments riches en acides aminés essentiels peuvent soutenir la croissance et le maintien de la masse musculaire sans prendre un gramme.

Des acides aminés de fer pour la production de créatine

Parmi les acides aminés essentiels à l’animal, on trouve tous ceux qui sont impliqués de près ou de loin dans la production d’hormones, elles-mêmes impliquées dans la construction musculaire.

Certains acides aminés, comme la valine, l’arginine, la leucine et l’isoleucine, sont ces éléments clés qui boostent la production de créatine. Cette dernière joue également un rôle non négligeable dans l’accélération du métabolisme, contribuant ainsi à une meilleure maîtrise du poids.

La L-carnitine, incontournable pour la combustion des graisses

En présence d’un stock graisseux important, un dernier acide aminé peut à lui seul aider à exploiter les réserves pour les transformer en énergie. Cet aminé n’est autre que la L-carnitine. On la trouve en grande quantité dans certaines viandes comme le porc, le poulet et surtout l’agneau.

Les bonnes graisses pour la combustion calorique

Toutes les graisses ne se ressemblent pas et ne sont pas nécessairement néfastes. C’est essentiellement le cas des acides gras essentiels et de leur oméga 3, qui participent à la régulation du métabolisme. En plus de leurs propriétés anti-inflammatoires bénéfiques pour les articulations, les graisses peuvent stimuler les hormones de satiété.

Une formulation hypocalorique pour la maîtrise de l’apport énergétique

Afin de minimiser au mieux les risques liés à l’excès de calories, tournez-vous vers une alimentation canine dont l’énergie métabolisable est inférieure à 3 000 Kcal. Privilégiez des aliments à faible indice glycémique, riches en fibres et en sources de prébiotiques et de probiotiques pour une meilleure satiété. Des sources de protéines maigres permettront quant à elles de préserver la masse musculaire tout en encourageant le remplacement des graisses par du muscle.

Vers quels marques et produits se tourner ?

Tous les fabricants ne sont évidemment pas égaux face aux critères que nous venons d’énoncer. Des enseignes comme Ultra Premium Direct ou encore Franklin Pet Food proposent des produits de qualité première qui sont plus à même de répondre aux besoins diététiques des conditions de santé particulières comme le surpoids et l’obésité.

En parallèle, ces marques garantissent une nutrition qui respecte les hypersensibilités qui accompagnent souvent ces pathologies.

Les croquettes

Lorsqu’elles sont formulées et adaptées au cas de santé, les croquettes pour chien en surpoids peuvent intervenir dans la recherche d’une silhouette plus harmonieuse. Elles permettent non seulement d’atteindre l’objectif, mais aussi de le maintenir sur le long terme, en prévenant l’effet yo-yo.

Pour remplir cette mission, elles doivent impérativement réunir la très grande majorité des critères suivants, qui incluent :

• teneur élevée en protéines d’origine animale ;
• recette faible en glucides ;
• faible teneur en matières grasses, notamment saturée ;
• ingrédients à faible indice glycémique ;
• la L-carnitine pour l’utilisation des graisses de réserve ;
• pléthore de fibres pour la satiété ;
• teneur réduite en amidon et ainsi en céréales.

Franklin Pet Food – Poulet, Courge, Myrtilles

Franklin Pet Food propose cette recette spécialement conçue pour les besoins nutritionnels des chiens adultes stérilisés ou sujets à la prise de poids. L’objectif est de reconquérir le métabolisme afin que le canin retrouve son poids initial et de réduire les risques de troubles cardiovasculaires, d’arthrose ou de diabète souvent associés à l’embonpoint.

Produit

Le délicieux poulet fournit les acides aminés essentiels au maintien de la densité musculaire, tandis que le choix d’une formule monoprotéinée facilite la digestion et diminue les risques d’allergie alimentaire. En favorisant une satiété durable et en limitant l’apport calorique, ce menu permet d’atteindre plus rapidement l’objectif pondéral. Enfin, on trouve des fibres solubles qui favorisent la bonne production d’une flore intestinale saine et d’un système immunitaire fort.

Prix

Ces aliments sont vendus au prix de 6,03 €/kg.
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Avis

Bien que les cas de développement de cancers liés au surpoids soient plus rares, la recette est également renforcée en antioxydants et en flavonoïdes, à travers la présence de myrtilles. Celles-ci protègent les cellules contre les dommages oxydatifs et renforcent ainsi le transit intestinal. Quant au système immunitaire, il profite des bienfaits de la courge, une source inépuisable de vitamines et de minéraux.

Pro-Nutrition – PROTECT Chien Obésité

PROTECT Chien Obésité est une formule complète et équilibrée de Pro-Nutrition conçue pour apporter une aide aux canidés qui ont besoin de retrouver leur poids de forme. Pauvre en calories et riche en protéines, la formule affiche également des sources de glucides à faible indice glycémique.

Produit

Grâce à son très bon équilibre entre réduction calorique et richesse protéique, ce plat favorise une perte de poids progressive et durable tout en évitant la fonte musculaire. La volonté de ces croquettes est également d’augmenter le sentiment de satiété et de stimuler le transport des aliments et le transit digestif grâce au psyllium, aux fibres de féveroles, aux fibres de pomme. Le charbon végétal est également d’une grande aide en favorisant le travail digestif et en contribuant à l’élimination des toxines.

Prix

Les croquettes PROTECT Chien Obésité sont disponibles au prix de 5,62 €/kg.

Avis

Cette recette se montre efficace et durable concernant la perte de poids, mais pas seulement. On lui reconnaît aussi un impact positif sur le confort digestif et hépatique du canin avec l’artichaut et l’extrait de romarin. Ces boulettes constituent ainsi une excellente option pour les chiens en surpoids comme touchés par le diabète sucré.

Classement des produits

Produit	Valeurs nutritionnelles	Prix	Avis
Ultra Premium Direct – Croquettes Light Sans Céréales pour Chien Stérilisé / Surpoids	Protéines 28 % Matières grasses 15 %	4,99 €/kg	Riches en ingrédients d’origine animale et végétale Sans grains Prend soin de la digestion Enrichi en algues Contient de l’agneau, une viande légère et digestible, riche en carnitine Pauvres en matières grasses saturées
Franklin Pet Food – Poulet, courge, myrtilles	Protéines 30,5 % Matières grasses 12 %	6,03 €/kg	Sans grains Monoprotéinée 70 % de viande fraîche dans les protéines animales Enrichi en graines de lin pour l’oméga 3 Riche en fibres et en vitamines
Pro-Nutrition – PROTECT Chien Obésité	Protéines 29 % Matières grasses 9 %	5,62 €/kg	Très nutritives Recette très complète Vision holistique de la gestion pondérale Convient aux canins diabétiques également Formule hypocalorique Privilégie les ingrédients à faible indice glycémique Densité énergétique réduite

La pâtée adaptée

Comparées aux croquettes sèches, les pâtées peuvent parfois présenter des caractéristiques nutritionnelles mieux adaptées dans le cadre de la gestion du poids. Elles affichent généralement une teneur en glucides plus faible que les croquettes sèches.

Or, nous savons qu’un apport élevé en glucides peut favoriser la prise de poids, d’où l’intérêt de privilégier une alimentation moins riche en glucides pour les chiens en surpoids.

En parallèle, les pâtées ont tendance à être plus denses en protéines et en graisses. En somme, elles peuvent être bénéfiques si elles incluent :

• des protéines animales de haute qualité et maigres ;
• un taux d’humidité supérieur à 80 % ;
• des matières grasses contrôlées et inférieures à 10 % ;
• des fibres solubles et insolubles ;
• des vitamines essentielles A, D2, E et B ;
• des prébiotiques et des probiotiques pour le transit et la digestion.

La ration ménagère

L’alimentation ménagère pour chien en surpoids peut, certes, séduire le chien par ses saveurs appétissantes. Mais, elle permet surtout de prévenir et de limiter les risques de maladies secondaires graves liées à l’excès de poids.

Parmi ces pathologies, on retrouve les maladies cardio-respiratoires avec comme manifestations l’hypertension artérielle et l’insuffisance cardiaque, le diabète sucré, les calculs rénaux ou encore les cystites.

En personnalisant les recettes, les chiens les plus fragiles évitent également certaines formes d’hépatite et réduisent les risques de dysplasie articulaire, d’arthrose et de ruptures de ligaments, si seulement les menus gastronomiques contiennent :

• des protéines ultra-fraîches et riches en acides aminés essentiels ;
• moins de sources de graisses saturées ;
• des hydrates de carbone non digestibles ;
• des superaliments ou des compléments adaptés ;
• l’absence partielle ou, dans l’idéal, totale de céréales ;
• des végétaux frais, riches en eau, en vitamines, minéraux et fibres essentielles ;
• un taux d’humidité élevé.

Les quantités journalières recommandées

Les besoins nutritionnels de chaque canidé varient en fonction de plusieurs facteurs clés.

L’âge, le poids et la race du chien constituent les premiers éléments à considérer, en raison de besoins énergétiques bien distincts d’un sujet à un autre.

L’état de santé global du chien joue également un rôle déterminant, tout comme le statut physiologique. Stérilisé, l’animal aura en effet tendance à prendre plus facilement du poids. Selon qu’il soit actif ou plutôt casanier, le chien peut aussi se nourrir différemment.

Poids du chien adulte	Croquettes	Pâtée humide
5 kg	100 g	255 g
10 kg	165 g	425 g
20 kg	275 g	715 g
30 kg	375 g	800 g
40 kg	465 g	1 200 g

Enfin, la quantité pourra différer selon la densité calorique. Par exemple, si vous offrez des croquettes préventives exclusivement réservées aux chiens stérilisés, elles se montrent généralement plus caloriques que les aliments light qui sont initialement destinés aux chiens déjà en surpoids.

Notre avis et nos recommandations

Faire maigrir son chien en surpoids est bien évidemment l’objectif ultime de toute diète adaptée à ses besoins spécifiques. Cette démarche doit néanmoins s’inscrire dans une approche raisonnée, loin de tout miser sur la restriction alimentaire drastique et probablement contre-productive.

Les dangers d’une réduction alimentaire drastique

La première règle à connaître est qu’il faut éviter à tout prix une réduction brutale de la ration journalière d’un canin, qu’il soit en surpoids ou non. Priver son organisme de vitamines, de minéraux ou encore de lipides indispensables peut mettre à mal ses défenses naturelles et mener à l’effondrement du système immunitaire ou à des retards de croissance. Des carences peuvent aussi compromettre la capacité de l’animal à combattre tumeurs et formes cancéreuses.

Moins de calories, même quantité

Pour prémunir l’animal contre ces dangers et favoriser une perte de poids saine, le mieux est de ne pas réduire la quantité de nourriture, mais plutôt de diminuer la charge calorique de sa ration. En d’autres termes, il s’agit de lui proposer la même quantité de nourriture, mais en veillant à ce qu’elle contienne moins de calories.

Cette approche permet de préserver la santé générale du chien. Autrement, son organisme aura tendance à puiser dans ses réserves, ce qui peut mener à une fonte musculaire importante et fragiliser l’animal.

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