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Le Boxer est un chien qui a tout pour lui : loyauté, intelligence, beauté et sens du travail. Il est brillant, alerte, courageux. Des qualités qui l’ont rapidement amené à être utilisé en tant que chien de garde de taille médium. Bien qu’il soit toujours apprécié à la tâche, on le voit également dans les foyers en tant que compagnon familial idéal. Cela ne l’empêche pas de conserver son énergie séculaire et d’avoir toujours autant besoin d’exercice. Un Boxer de taille moyenne reste malgré tout un chien impressionnant puisqu’il peut mesurer jusqu’à 65 cm au garrot pour un mâle, les femelles étant légèrement plus petites. Leurs yeux bruns et alertes leur donnent un air de chien curieux. Comme leur nom l’indique, ils sont puissants, gracieux et agiles. Le boxeur est tout autant un joueur qu’un grand optimiste qui aime l’activité physique sans compter. Bien qu’il s’épanouisse mieux en maison avec jardin, il peut se développer en appartement s’il bénéficie de sorties régulières. Il est également patient de nature, ce qui lui accorde une place de choix dans une famille avec enfants.

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Origine et caractéristiques

Le Boxer est un illustre descendant de la race désormais éteinte du Bullenbaiser , croisé avec des Mastiffs, des Dogues allemands et probablement des Bouledogues. Ce chien est développé en Allemagne dès le 19ᵉ siècle et utilisé en qualité d’appâteur de taureaux puis d’aide aux bouchers. Il contrôlait notamment les animaux présents à l’abattoir.
Selon certains historiens, leur nom serait l’indication même de leur implication dans le contrôle du bétail étant donné le mot allemand boxl pour « abattoir ». Le Boxer Club de Munich naît en 1895, mais il faut attendre 1902 pour que le premier standard soit établi. Il est par la suite introduit dans les conflits de la Première Guerre mondiale par l’armée avant d’être officiellement classé chien de travail en 1924 lorsqu’il participe au tout premier championnat pour chiens de police.
Entre-temps, en France, les premiers boxeurs apparaissent en Alsace, non loin de la frontière, en 1922.
L’année suivante, un Boxer Club est formé à Mulhouse. Outre leur rôle dans la police, les Boxers sont une des premières races utilisées comme chiens d’aveugle. Ils sont également chiens de garde et aujourd’hui connus pour leurs qualités de chiens de compagnie loyaux, fidèles et attachants.
Ce grand chien de 53-60 cm pour la femelle et 57-63 cm pour le mâle possède une espérance de vie de 10-12 ans.

Le caractère du Boxer

Le boxeur présente un profil à la fois fantasque et alerte. Il est vif et agile. Quand il n’est pas en train de s’amuser avec sa meute familiale tant aimée, il se montre vigilant et accueille les inconnus avec méfiance. Toutefois, il reste toujours agréable et poli, n’étant agressif si l’on s’en prend aux siens. Il adore les enfants et ne se fait pas prier pour jouer avec eux. Il ne manque pas d’humour et de tendresse.
Il brille également dans l’ensemble des disciplines sportives canines. Sa personnalité et son tempérament sont essentiellement déterminés par l’hérédité, son dressage et sa socialisation. Plus un Boxer aura été élevé dans un environnement agréable, ferme, mais joyeux, plus il aura de chances de s’approcher des gens en toute confiance et toute sécurité.

Galerie photo de Boxer

L’entretien du Boxer

Le Boxer n’est pas un chien qui requiert énormément de toilettage ni de soins spécifiques. Il s’agit d’un chien propre et qui est réputé pour se nettoyer tel un chat. Vous n’aurez besoin de lui faire prendre un bain que deux à trois fois dans l’année en fonction des besoins. Il sera néanmoins nécessaire de lui brosser les dents plusieurs fois par semaine afin de prévenir la plaque dentaire et d’éliminer les potentielles bactéries.
L’idéal serait de le faire tous les jours afin d’éviter tout tracas parodontal. Ses ongles devront être coupés une à deux fois au mois pour éviter d’entendre ses griffes gratter le sol.
Lorsque vous le toilettez, profitez-en pour rechercher d’éventuelles plaies, éruptions cutanées et infections en tout genre aux yeux, au nez, aux pattes ou à la bouche. Les oreilles également doivent être vérifiées. Le nettoyage de chaque oreille en cas de cire doit se faire à l’aide d’une boule de coton. Pensez également aux traitements antiparasitaires et aux vermifuges.

L’éducation du Boxer

Le Boxer a été initialement élevé pour la chasse du grand gibier et des proies telles que le sanglier et le bison. Il est ainsi nécessaire de canaliser cette énergie pour ne pas l’encourager à chasser vos bottes ou qu’il ne vous dérobe votre déjeuner.
Son dressage commence par l’apprentissage d’ordres et commandes basiques comme « Assis », « Reste », « Viens ». Bien que le Boxer puisse se montrer parfois têtu, il aime apprendre et répondra positivement à des cours de dressage basés sur le renforcement positif et la confiance de son maître.

Le prix moyen à l’achat d’un Boxer

Le tarif d’achat d’un Boxer est d’environ 800-1 400 € pour un chien inscrit au LOF selon l’élevage. Ses coûts d’entretien à l’année représentent un budget de 600-900 €.

Les robes du Boxer

Le chien est disponible en trois coloris. Mais il peut aussi être assorti à d’autres couleurs afin de créer différentes combinaisons. Ici, il sera question des standards. Sachez que la race ne porte pas le gène de la couleur noire, ce qui signifie que vous ne verrez jamais de Boxer doté d’un manteau noir.

Le Boxer bringé

Sur le plan technique, il s’agit d’une couche de base de couleur fauve et grise avec des taches et des stries un peu plus foncées qui lui octroient un aspect marbré et bringé. On retrouve un motif similaire chez le Lévrier, le Pit Bull ainsi que chez le Grand Danois. La génétique se charge de déterminer les traits, les motifs et l’épaisseur des rayures.

Le Boxer fauve

Le fauve est initialement la couleur traditionnelle du Boxer. Elle peut couvrir le spectre allant du chamois au marron. Généralement, les Boxer Clubs exigent que le chien possède un museau noir. Au Royaume-Uni, le Boxer fauve est aussi appelé « rouge » en raison de la richesse de sa couleur.

Le Boxeur blanc

Le blanc a été interdit par les Boxer Clubs allemand en 1925 car les Boxeurs de cette couleur ne correspondaient pas à leurs standards esthétiques avant d’être réintégré. Aussi appelé albinos bien à tort, le Boxer blanc se distingue par un nez foncé et des yeux bruns. Ses coussinets sont généralement roses.

Les différentes catégories de Boxers

Il en convient de préciser qu’officiellement, il n’existe qu’un seul type de race Boxer. Certains ont estimé qu’il existait, par exemple, un Boxer nain, mais la différence par rapport au standard qu’il ne s’agit pas d’un Boxer officiellement reconnu. Il est d’ailleurs souvent confondu avec le Boston terrier et le Bouledogue français. La race possède toutefois diverses variétés plus ou moins reconnues, caractérisées par des différences d’ordre morphologique.

Le Boxer allemand

La plupart des puristes estiment qu’il s’agit de la variété officielle et de loin, la plus pure. De taille, il est plus grand que les deux autres variétés. Ses os sont plus prononcés, denses et larges. Ses cuisses sont également un peu plus larges que celles des autres de la race. Son museau est plus petit que le Boxer américain, il est toutefois plus large que l’anglais. Mais son trait distinctif reste la longueur entre son crâne et son museau suit exactement le rapport 1:2.

Le Boxer anglais

Aussi appelé Boxer britannique, on le reconnaît à sa grande souplesse et sa dite élégance par rapport aux autres Boxers. Sa musculature plus élancée lui donne une agilité accrue. Les jointures de la variété sont plus hautes que l’allemand et l’anglais. Il est cependant légèrement plus petit et possède des pattes plus courtes ainsi que plus fines.

Le Boxer américain

Reconnu en 1904 par l’American Kennel Club, il est la dernière variante de la race. Il est facile à reconnaître en raison de l’absence de rides chez l’adulte. Son poil et son pelage se font plus denses, plus résistants et plus brillants que chez ses deux homologues. Si sa posture est différente de celle de l’anglais en raison de la forme de ses pattes et de ses chevilles, elle est très similaire à celle de l’allemand.

La courbe de poids idéal du Boxer

En fonction de son gabarit, le poids d’un chiot Boxer mâle de 3 mois devait atteindre 10,4-11,9 kg tandis que la femelle se situerait entre 9,7 et 11 kg.
À 6 mois, le mâle pèse en moyenne 19,4-22,3 kg. La femelle pèse quant à elle un peu moins, entre 18 et 20,5 kg.
À son premier anniversaire, le mâle affiche 26,2-30,8 kg pour 24,2-28 kg pour la femelle.
Tous deux finiront leur croissance autour de 16 mois. Le poids du Boxer mâle atteindra alors 30-32 kg et la femelle, 26-27 kg.

Les maladies du Boxer

C’est généralement un chien en bonne santé, mais comme tous les chiens, il peut être sujet à certains troubles de santé.
Cela ne veut pas dire que tous les Boxers contracteront ces maladies. Il est toutefois essentiel de les faire surveiller par votre vétérinaire.

Sténose aortique/sténose sous-aortique

Il s’agit d’une malformation cardiaque héréditaire et courante chez la race. Elle se manifeste lorsque l’aorte se rétrécit au niveau de la valve aortique, ce qui force le cœur à travailler davantage afin d’être en mesure de conduire le sang au corps. La condition peut se révéler à la suite d’évanouissements et peut conduire à la mort subite. Son mode de transmission n’est toujours pas connue à ce jour.

Cardiomyopathie Boxer

Elle est aussi appelée cardiomyopathie arythmique du Boxer, cardiomyopathie ventriculaire droite arythmogène et arythmie ventriculaire familiale. Cette maladie héréditaire se manifeste par un rythme cardiaque erratique (l’arythmie) due à une mauvaise conduction. Les premiers symptômes en sont la faiblesse et l’évanouissement qui peuvent entraîner un déclin inattendu.

Dysplasie de la hanche

L’affection touche un grand nombre de chiens de taille médium à géante. Elle se définit par l’inadaptation du fémur à l’articulation de la hanche. À mesure que le canidé prend en âge, la condition peut se transformer en arthrite. Bien qu’elle soit héréditaire, elle peut être déclenchée par des facteurs environnementaux et notamment une croissance excessivement rapide due à un régime hypercalorique.
Des sauts et des chutes successifs peuvent également en être la cause. Un traitement basé sur une supplémentation alimentaire suffira généralement à gérer la condition.

Les allergies

Le Boxer est également sujet aux allergies, aussi bien environnementales qu’alimentaires. Il sera nécessaire de le conduire chez le vétérinaire dès les premiers signes de démangeaisons et de squames.

Dilatation gastrique-volvulus (GDV)

La torsion de l’estomac est une condition mortelle lorsqu’elle n’est pas traitée à temps. Elle affecte généralement les grands chiens, mais aussi les médiums à poitrine profonde à l’instar du Boxer.
Cela se manifeste habituellement après que le chien ait bénéficié d’un plat trop copieux, mangé trop rapidement ou bu trop d’eau pendant le repas. Évitez également de faire faire de l’exercice à votre chien juste après un repas.

Dystrophie cornéenne

Elle désigne en réalité plusieurs troubles oculaires non inflammatoires. Ils sont héréditaires. La dystrophie cornéenne n’est habituellement pas douloureuse, à moins que des ulcères ne se soient formés.

La meilleure alimentation pour un Boxer

L’alimentation du Boxer doit être pensée de manière à pouvoir répondre efficacement aux besoins nutritionnels et énergétiques de la race. Quelle que soient les marques et le sac de croquettes Premium choisi, sa nourriture doit favoriser la tonicité cardiaque.
Le Boxer a également une tendance à l’ingestion rapide de ses aliments secs, ce qui renforcent ses problèmes digestifs que des prébiotiques et probiotiques pourront aider à soulager ou résorber. Il possède également une mâchoire de forme brachycéphale avec un museau aplati, ce qui est une entrave à la bonne préhension d’aliments.
La forme de la croquette devra s’adapter en conséquence. Enfin, les articulations du chien sont hautement sollicitées. Cela va sans dire qu’une supplémentation sera utile au traitement de ce problème fréquent.

Les meilleures croquettes pour un Boxer

Au-delà des exigences habituelles à tout chien, le Boxer présente également des besoins qui lui sont tout à fait propres.
Étant donné ses dépenses, les croquettes pour Boxer devront les combler et encourager le maintien de la masse musculaire.
On pense à un taux protéique de 28 % minimum pour soutenir sa masse et ses efforts musculaires. La taurine et la L-carnitine devront obligatoirement faire partie intégrante de son régime afin d’optimiser cet effort musculaire et alimenter la contraction cardiaque.
La nutrition canine devra être riche en anti-oxydant dont la source en oméga 3 (huile de saumon, lin, colza) et des complexes de vitamine afin d’éviter toute perturbation du travail cardiaque. L’EPA et DHA serviront également pour la peau, le poil, le pelage ainsi que pour les articulations du canidé, en association avec la L-carnitine, la glucosamine et la chondroïtine (chondroprotecteurs). Des fibres végétales issus de légumes verts pourront l’aider par ailleurs sur le plan de la digestion, tandis qu’une forme ergonomique de croquettes l’aidera grandement à mieux les attraper et surtout mieux les mâcher, ce qui participe aussi un meilleur fonctionnement de l’appareil digestif.

La quantité de croquettes pour un Boxer

La quantité de croquettes dépendra grandement de la phase de croissance et de l’état de santé de l’animal. Chez le chiot de 3 mois, la quantité requise est de 150 g. Entre 4 et 5 mois, elle augmente légèrement pour atteindre 225 g puis 295 g à 6-8 mois.
À partir de 9 mois, le chien pourra progressivement manger autant de croquettes qu’un adulte, autrement dit 350 g. Si toutefois il s’agit d’un adulte castré ou stérilisé, d’une femelle en gestation ou allaitante, d’un sujet en surpoids, en obésité, d’un sénior, ou sujet à toute forme de limitation alimentaire, une quantité de 280 g sera suffisante.
Pour le Boxer sportif, vous pourrez augmenter la ration jusqu’à 455 g.

Les aliments à bannir chez le Boxer

Les ingrédients à bannir sont avant tout issus de la diet humaine. C’est pourquoi vous devrez éviter tout reste de table humaine étant donné les teneurs en sucre, en sel ou encore en graisses différentes.
Certains aliments de nos tables sont, en effet, nocifs pour le chien, d’autres mortels. Un aliment à lui seul est susceptible de provoquer des vomissements comme une intoxication ou encore le coma. Les principaux éléments à éviter ou bannir sont :

  • le chocolat
  • le cacao
  • les raisins
  • les noix et les noisettes
  • l’avocat
  • la pâte crue (à gâteau, à pain)
  • les produits laitiers et composés de lactose
  • les édulcorants
  • l’ail, l’échalote, l’oignon, le poireau
  • la pomme de terre crue
  • les os de petite taille et cuits
  • le café et le thé
  • l’alcool

Le Boxer chiot

Un bon départ dans la vie du Boxer chiot est l’assurance d’une belle vie en tant qu’adulte.
Très joyeux dès ses premières semaines, le chien aura toutefois besoin d’un encadrement spécifique sur le plan éducationnel et alimentaire pour se construire correctement avant d’attaquer sa vie du grand chien.

L’éducation du Boxer chiot

Comme tout canidé, le Boxer a besoin d’une socialisation précoce, autrement dit l’exposition à des humains comme à des animaux. L’éduquer, c’est aussi le mettre en contact de nouvelles images, de sons et d’expériences différentes afin le faire travailler sur son comportement.
C’est en contact de ces stimuli qu’il pourra devenir un chien équilibré et agréable. Il peut être intéressant de l’inscrire à une école pour chien et de l’emmener dans des parcs canins fréquentés afin qu’il s’entoure de différents types de personnes et d’animaux et ainsi parfaire ses compétences sociales.

L’alimentation du Boxer chiot

Le régime du Boxer chiot diffère en celui de l’adulte en ce sens qu’il doit se montrer plus riche en protéines de viande (poulet, boeuf, saumon, agneau) et en graisses saines.
Les croquettes pour chiots Boxer devront afficher un taux protéique de 30-40 % minimum, idéalement. Il sera nécessaire de lui fournir suffisamment de calcium afin de développer son cartilage, sans excès pour éviter une croissance trop rapide et des conséquences sur la santé comme la déformation osseuse.
L’oméga devra se charger de lui fournir l’énergie nécessaire à ses activités et son apprentissage. Une supplémentation en L-carnitine peut être une option afin de l’aider à parfaire sa musculature tandis que le duo de chondroprotecteurs prendra soin, notamment à caractère préventif, de ses jointures.

Les vêtements et le Boxer

Bien que cela puisse en étonner plus d’un, en raison de sa grande taille, le Boxer peut avoir besoin d’un petit gilet ou d’un manteau qui l’aide à maintenir une température corporelle stable. En hiver, il sera question de lui offrir un manteau, un blouson ou un gilet en fonction de sa sensibilité et des températures extérieures, qui puisse résister à l’eau en cas d’intempéries. Il n’en sera que plus attiré par l’extérieur, les promenades et les jeux en plein air.

Les accessoires et le Boxer

Il est important pour le bien-être de l’animal comme de sa santé et de sa sécurité de s’assurer qu’il ne manque de rien. Voici trois indispensables destinés au Boxer.

Le nécessaire de toilettage

Il faut savoir que le Boxer peut perdre beaucoup de poils à certains moments de l’année. Cependant, un brossage hebdomadaire effectué à l’aide d’une brosse à picots très courts adaptés ou d’un gant de toilettage en caoutchouc dur devrait l’aider à maintenir son beau pelage intact sans avoir à se rendre chez le toiletteur. Afin de rendre toute la brillance à son manteau, vous pouvez également vous procurer une belle peau de chamois avec laquelle frotter de temps en temps.

La cire pour pattes

La patte d’un chien étant faite de peau, il n’est pas toujours vrai qu’elle puisse tout supporter. Lorsque les températures extérieures se font extrêmes et que le sol est impraticable, les conditions climatiques peuvent refroidir le chien et abîmer ses pattes. Il est alors important d’utiliser une cire pour pattes de qualité Premium qui a pour objectif de les hydrater ainsi que de les protéger de minuscules morceaux de glace qui pourraient se coincer entre les coussinets.

Le collier et le harnais

Le vétérinaire recommande généralement de munir le Boxer chiot d’un collier léger en nylon avec une étiquette d’identification. Vous pouvez également opter pour un harnais à sangle pour les promenades. Il existe toute une variété de modèles disponibles : le harnais à sangle, le harnais de gilet ou encore le harnais réfléchissant, chacun étant adapté à une situation spécifique. Lorsque le chien est enfin adulte, vous pouvez lui procurer un collier plus solide, en cuir et opter pour une laisse rétractable car elles offrent plus de liberté d’exploration sans avoir à vous arrêter à chaque fois que votre chien est attiré par un branchage ou une petite bête.

Autres conseils pour bien entretenir son Boxer

Les méthodes de jeux seront également à penser avec sérieux, car le Boxer est un chien grand et fort qui peut blesser des individus de manière accidentelle s’il ne sait pas contrôler ses actions ni sa force. Il s’agit d’un chien très joyeux qu’il faut canaliser et à qui il faut apprendre le sens des conséquences d’une action. Cela passe par des méthodes d’entraînement fermes et une cohérence à toute épreuve.

Autre info sur cette race de chien

Cela étant dit, le Boxer adore les enfants et se font souvent d’excellents compagnons de jeu. Et c’est de là dont vient le plus grand danger, car les tout-petits ne sont pas nécessairement en mesure à gérer la fougue de la race. Il faudra faire attention à préparer les enfants à l’approche du chien ainsi que préparer le chien aux interactions avec les enfants sous votre surveillance. Sachez que le Boxer s’entend par ailleurs très bien avec les autres chiens, avec ou sans surveillance.

Notre avis sur le Boxer

Observer un Boxer courir et s’amuser est gratifiant. Ses pitreries vous feront probablement sourire. Il en est de même pour son unique son, le « woo-woo » qu’il émet lorsqu’il veut quelque chose ou qu’il est heureux. Bien qu’il soit attachant et d’une amabilité exquise, le Boxer n’est pas la race de tout le monde.
Si vous appréciez les grands chiens affectueux qui aiment les câlins parfois un tantinet baveux, alors il est probable qu’il soit fait pour vous. Il vous faudra cependant garder à l’esprit qu’il vous faudra lui offrir beaucoup de votre temps afin de le garder stimulé tant sur le plan mental que physique.

FAQ

Est-ce que le Boxer est dangereux ?

Le Boxer est tout sauf un chien dangereux s’il est bien dressé. Néanmoins, c’est une race qui ne manque pas d’énergie et qui nécessite énormément d’exercice afin de rester calme. Sans cette dose quotidienne d’exercice, il peut devenir hyperactif, voire agressif. La socialisation a, encore une fois, sa part à jouer dans la mesure où un chien habitué à l’extérieur aura bien moins de chances de se montrer peureux envers les inconnus ou encore les enfants.

L’aboiement du Boxer

De manière générale, le Boxer n’aboie pas sans raison valable. Il peut toutefois être volubile et pousser un hurlement qui s’apparente à sa manière de communiquer.

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