




Le chien pomsky : ses caractéristiques principales
Sa carte de visite
Critères | Observations |
Origines | États-Unis |
Ascendance | Croisement entre un husky sibérien et un spitz nain (également appelé loulou de Poméranie) |
Date de naissance de la race | Dans les années 2010, plus précisément en 2012 pour le premier chien obtenu par insémination artificielle |
Taille | 30 à 45 cm |
Poids | 6 à 15 kg |
Caractère | Affectueux, intelligent, très énergique, joueur |
Éducation | Doit être menée avec cohérence dès le plus jeune âge et selon un axe positif |
Entretien | Dose élevée d’exercice physique, brossage régulier |
Prix | De 1500 euros à 5000 euros et plus |
Espérance de vie | Probablement entre 12 et 15 ans |
Le prix d’un chien pomsky
À titre de croisement, et non de race à part entière, le pomsky peut être issu de différents parents. Un pomsky f5, plus stable et plus abouti, coûtera probablement plus cher qu’un pomsky f3 ou f2. Les pomskys de génération B, recroisés avec l’un de leurs ascendants, se négocient encore différemment.
La taille du chien conditionne son prix, car la demande n’est pas la même. Par exemple, les spécimens les plus petits, dits toy, séduisent par leur apparence de nounours. Le pomsky nain ou mini attire potentiellement plus d’acheteurs que le standard, ce qui se traduit par un prix plus élevé.
Bien que toutes les couleurs de robe soient possibles, les plus recherchées reproduisent celle du husky. Un chien noir et blanc qui présente le masque caractéristique et les yeux vairons verra certainement son coût augmenter. Les yeux bleus font aussi partie des favoris des acheteurs.
D’autres éléments entrent en considération lors de la négociation. Il s’agit du sexe de l’animal, de son état de santé, de sa lignée, mais aussi du rapport entre l’offre et la demande dans le secteur.
Les prix moyens constatés
En moyenne, les pomskys de première génération sont vendus entre 2000 et 3500 euros. Ils découlent directement du croisement initial entre le spitz nain et le husky sibérien.
La deuxième génération coûte plus cher, de 2500 à 4500 euros pour un chiot avec pedigree.
À partir de la troisième génération, les prix s’envolent. Comptez au moins 4000 à 6000 euros pour acquérir un pomsky miniature.
En France
En France, cette race se négocie légèrement plus cher qu’aux États-Unis car elle y est plus rare. Dans tous les cas, ajoutez 500 à 1000 euros au prix d’origine pour les chiots aux yeux bleus ou à la robe recherchée. La présence de tests génétiques complets alourdit encore la facture, tout en bénéficiant à l’animal.
Facteurs d’influence | Prix moyen en France | Prix moyen aux États-Unis |
Génération F1 | 2000 à 3500 euros | 1700 à 3400 euros |
Génération F2 | 2500 à 4500 euros | 2100 à 4200 euros |
Génération F3 | 4000 à 6500 euros | 3400 à 5900 euros |
Yeux bleus, couleurs de robe rares | + 500 à 1000 euros | + 400 à 1300 euros |
Tests génétiques faits | + 200 à 500 euros | + 170 à 425 euros |
Un chien pomsky pas cher, c’est possible ?
Utilisez les astuces suivantes pour acheter un pomsky à petit prix.
- Adoptez un chien adulte ou sénior, moins cher qu’un jeune chiot.
- Tournez-vous vers des éleveurs sérieux mais moins connus ou débutants.
- Optez pour un animal avec une robe classique, des yeux sombres, moins recherchés.
- Privilégiez un pomsky f2 ou f1, moins cher qu’un pomsky f4.
- Acceptez la présence de quelques défauts esthétiques, sans conséquences sur la santé.
- Négociez un paiement échelonné avec l’élevage.
- Profitez d’un séjour en Amérique pour y trouver votre pomsky à un tarif inférieur.
Ses particularités physiques
Bien qu’il varie selon les générations, l’aspect physique du pomsky conserve certaines caractéristiques précises.
Un chien de petite taille
Admirez la silhouette compacte et athlétique du pomsky ! Il profite de l’allure musclée du husky avec une pointe d’élégance héritée du spitz. La taille au garrot va de 25 cm pour les modèles toy à plus de 40 cm pour les standards. À titre de comparaison, un husky sibérien mesure autour de 60 cm.
Le poids, lui, est compris entre 2 et 12 kilos. Notez que les pomskys de génération B qui possèdent des huskys comme parents s’approchent davantage du gabarit standard. Les chiens dits « hors-standard » dépassent les normes, mais ils se retrouvent surtout dans la première génération.
Un corps musclé et compact
Son corps est bien proportionné, ressemblant à celui du Husky, mais de plus petites dimensions, comme celles du Spitz nain. Son cou est droit, de longueur moyenne, son dos est musclé et la poitrine bien ouverte.
Observez la queue du pomsky, qui s’enroule sur le dos ou s’érige en faucille. Elle signe l’héritage des deux races primitives que sont le husky sibérien et le spitz nain. Largement fournie en poils, la queue se dresse haut lorsque le chien joue ou se trouve en situation d’alerte.
Une tête arrondie au regard franc
L’on s’attend à trouver des yeux perçants chez un pomsky, c’est pourquoi la couleur bleue est si prisée. De forme ovale étirée, les yeux peuvent aussi être marron ou ambre. À l’instar du husky sibérien, certains pomskys présentent des yeux vairons.
Chez les chiens bicolores, la tête présente un masque particulier. Il évoque au choix une fleur de lys, un bandit masqué, une flamme, un trèfle, un coeur ou encore un éclair.
En ce qui concerne les oreilles, le pomsky les porte dressées et couvertes d’une dense fourrure. Leur forme triangulaire lui confère un air attentif.
Un pelage plus ou moins long aux couleurs variées
Avec son poil double très dense, le pomsky dispose d’une fourrure assez imposante. Elle peut être courte, mi-longue ou longue, en fonction des traits hérités des ancêtres. Douce sous la main, elle prend les couleurs suivantes :
- noir et blanc ;
- gris et blanc ;
- roux (proche du renard) ;
- marron et blanc ;
- chocolat ;
- blanc intégral (comme le chien de Michou) ;
- noir intégral ;
- pinto (blanc taché) ;
- agouti (allure sauvage) ;
- merle (rare, mêlant le blanc à des taches foncées) ;
- bleu ou lilas (rares, couleurs diluées du chocolat et du noir).
Mais la Fédération cynologique internationale n’ayant pas encore enregistré la race, vous pouvez en fait trouver toutes les robes possibles du husky ou du spitz chez le pomsky.
Ses compatibilités
Sociable d’une façon générale, il s’entend bien avec les humains et ses congénères, un peu moins avec les chats et les enfants. Afin que votre pomsky ait une relation facile avec son entourage à l’âge adulte, prévoyez une socialisation poussée à son arrivée à la maison.
Compatibilité avec | Notes | Observations |
Les autres chiens | 4/5 | Il apprécie souvent la compagnie de ses congénères. Une cohabitation précoce favorise l’entente avec d’autres chiens mâles ou femelles. |
Les chats | 3/5 | Il se montre réservé envers les félins et parfois méfiant. Prévoyez une introduction dès le plus jeune âge entre eux pour espérer leur cohabitation. |
Les enfants | 3/5 | Bien qu’il apprécie l’énergie des enfants, il ne tolère pas toujours leurs mouvements brusques. L’entente avec des jeunes adolescents sera meilleure. |
Les rongeurs et oiseaux | 2/5 | Descendant du husky, le pomsky en hérite potentiellement l’instinct de chasse. Évitez le contact avec de petits animaux. |
Avec les étrangers | 3/5 | D’une nature sociable, il accepte assez facilement les personnes inconnues, mais peut se montrer réservé sans pour cela être agressif. |
Les séniors | 3/5 | Sa taille modérée l’avantage pour accompagner les personnes âgées. N’oubliez cependant pas que c’est un chien débordant d’énergie. |
Son style de vie
Bien que de petite taille, le pomsky est un chien qui a besoin de sortir beaucoup et de se dépenser, ayant hérité de l’énergie de son ascendant, le Husky. En revanche, grâce à sa petite taille, il s’adapte fort bien à la vie en appartement.
Conditions de vie | Notes | Observations |
Vie en appartement | 4/5 | C’est une race adaptée, en termes de taille, aux appartements. Le pomsky a besoin de plusieurs sorties dans la journée pour se sentir à son aise dans un logement sans jardin. |
Solitude | 1/5 | Sans stimulation et sans compagnie, il s’ennuie rapidement et devient anxieux. Ce n’est pas un chien adapté aux personnes souvent absentes. |
Mobilité | 4/5 | Avec une préparation adéquate, il profitera pleinement des déplacements en compagnie de sa famille. |
Activité physique | 5/5 | Vélo, randonnée, sports d’hiver conviennent à merveille au pomsky. Il vous suivra dans toutes vos activités physiques, même intensives. |
Un caractère proche de ses ascendants
Selon les croisements réalisés, le pomsky tend davantage vers le spitz ou vers le husky sibérien, tout en restant un excellent chien de compagnie.
Un petit compagnon particulièrement affectueux
Se trouver au centre de l’attention ravit plus que tout le pomsky. Il démontre son affection avec force câlins et jeux. Il s’attache parfois plus particulièrement à l’un des membres du foyer. Avec les étrangers, il est presque toujours amical.
Toujours en quête d’activité
Soyez prêt à courir si vous adoptez un pomsky : c’est un petit chien qui n’a jamais son content d’activité physique. Très joueur, il cherche sans cesse la stimulation. Sa nature curieuse l’incite à explorer son environnement. Revers de la médaille, il devient sujet aux comportements destructeurs s’il s’ennuie.
Intelligent, mais parfois têtu et indépendant
Oui, le pomsky adore ses maîtres, mais il aime disposer de son autonomie. Il prend par exemple des décisions de lui-même ou ignore les ordres qui ne lui plaisent pas. Son intelligence affûtée est un atout pour une éducation réussie.
Les principes éducatifs à utiliser
Le bien-être de votre compagnon dépend aussi de l’investissement que vous mettez dans son éducation. L’éducation du pomsky doit être faite avec patience et cohérence. Une dose de renforcement positif vous aidera dans votre tâche.
Socialisez-le dès son arrivée à la maison
Cruciale pour obtenir un chien adulte équilibré, la socialisation précoce débute peu après le sevrage. Exposez votre chiot à des situations variées, à des humains et animaux différents. Il s’adaptera beaucoup mieux aux changements en grandissant.
Utilisez le renforcement positif dans votre éducation
Comment tirer le meilleur parti d’un chien aussi intelligent ? Utilisez des méthodes de renforcement positif avec des friandises, des compliments, des jeux interactifs ou des caresses. Vous encouragerez peu à peu les bons comportements. Les punitions, souvent inutiles, rendent votre compagnon méfiant et peu disposé à vous plaire.
Soyez patient et cohérent
La moindre défaillance dans le schéma éducatif sera vite repérée par le pomsky. Restez cohérent dans les situations variées mais aussi entre les membres de la famille. Une grande dose de patience permet d’ancrer les apprentissages par la répétition.
Son alimentation recommandée
La meilleure alimentation pour un Pomsky reste celle adaptée à un petit chien, renforcée en nutriments favorables à son pelage long et conforme à son niveau d’activité. Bien qu’elle soit encore peu documentée, cette race mi-Husky sibérien mi-Spitz nain a notamment hérité des prédispositions de ces deux parents, qu’elles soient oculaires ou articulaires. Elle aura ainsi besoin d’antioxydants, quel que soit le type d’alimentation. Une gestion adéquate des glucides sera aussi déterminante afin d’éviter qu’il ne prenne des kilos superflus une fois adulte.
Quelles croquettes choisir ?
Des croquettes pour sa taille et son âge sont les conditions de base d’une bonne santé. Dans l’idéal, optez pour une recette à multisources d’acides gras essentiels oméga 3. Elles aideront à l’entretien d’un poil long fort et d’une peau saine. En cas de fragilité articulaire diagnostiquée, une supplémentation en chondroprotecteurs comme la glucosamine et l’acide hyaluronique ne sera pas de trop. Compte tenu du risque de surpoids chez cette race, limitez les céréales au riz, une option digestible et qui fournit une énergie sur la durée.
Enfin, le diamètre de la croquette doit s’aligner sur la taille de sa mâchoire afin de faciliter la mastication et d’encourager le grattement de la plaque dentaire.
Franklin – Saumon, truite, persil
La marque Franklin Pet Food a ici recours à des protéines digestes et hypoallergéniques comme le saumon, un très bon choix tant sur le plan gustatif que nutritionnel. Il combine en effet le zinc, le sélénium et les vitamines B, tous des essentiels pour la santé anti-inflammatoire et globale au quotidien. Aux côtés des deux poissons, on note l’ajout de prébiotiques naturels, de patate douce, de courge et d’épinards pour une excellente mixture de fibres végétales. Le but ? Contribuer au maintien d’un système digestif et d’une flore intestinale au meilleur de leur forme.
Prix
Cette croquette est présentée à 6,30 €/kg.
Avis
Des vitamines à l’oméga 3, en passant par le zinc, tout de cette recette est étudié pour que le Pomsky affiche un poil radieux. La formule veille aussi à ce que le petit chien ne souffre pas de démangeaisons ni d’allergies avec les patates douces au détriment de la pomme de terre.
Entretenir un pomsky en fonction de ses besoins
Attendez-vous à vivre avec un chien actif toujours en mouvement si vous adoptez un pomsky. Une activité physique intense constitue la base de son bien-être et lui évite le surpoids.
Mais il ne suffit pas de quelques promenades : le pomsky a besoin de stimulations variées. Des jeux interactifs en intérieur, des sports canins le week-end, de longues promenades en forêt ou en campagne satisferont son énergie inépuisable.
N’oubliez pas la stimulation cognitive
C’est à travers des interactions sociales nombreuses que le pomsky développe son intelligence. Stimulez son intellect au moyen d’activités comme l’agility ou le dressage. Pensez aussi à sa curiosité qui doit sans cesse être éveillée avec des situations nouvelles.
Pratiquez les soins de base
Loin d’être le chien le plus exigeant en termes de toilettage, le pomsky a besoin d’un brossage hebdomadaire. Son poil mi-long ou long tombe davantage durant la mue : intensifiez les brossages. N’oubliez pas de lui brosser les dents, de couper ses griffes si nécessaire et de vérifier l’état de ses coussinets. Prendre soin de sa dentition est primordial et doit se faire dès son plus jeune âge. Vous pourrez lui donner en complément des jouets à mâcher pour prévenir l’apparition du tartre.
Ses maladies fréquentes
Le peu de recul sur la race implique un retour encore limité au sujet des troubles héréditaires. L’on peut toutefois se baser sur les maladies courantes du husky et du spitz pour anticiper celles du pomsky.
La dysplasie de la hanche, courante chez les chiens
Des deux races parentes du pomsky, c’est le husky qui souffre le plus régulièrement de dysplasie de la hanche. Cette affection touche l’articulation et entraine des douleurs ainsi que des troubles de la motricité.
Les problèmes oculaires, à surveiller
Votre pomsky présente des larmoiements excessifs ? Ses yeux sont irrités et rougeoyants ? Consultez rapidement un vétérinaire. Le pomsky, en particulier s’il a les yeux bleus, est sujet aux troubles de la vision et à la cataracte.
La luxation de la rotule, spécifique aux petites races
C’est cette fois le genou qui est touché. La luxation de la rotule occasionne une boiterie chez les sujets concernés, souvent de petite taille.
L’histoire de la race
Une photo virale partagée sur Internet suffit. Deux éleveuses américaines se lancent à corps perdu dans le développement du pomsky. En 2012, une insémination artificielle permet d’obtenir des premiers spécimens croisés entre spitz nain et husky sibérien. Fait amusant : la photo d’origine montrait en fait un lapphund, une race de chien nordique.
Une création très récente
L’idée de croiser un loulou de Poméranie et un husky sibérien date du début des années 2000. Mais la première portée vivante ne voit le jour qu’en 2012. Très vite populaire, ce croisement, qui n’est pas reconnu comme une race, se fait connaitre dans le monde entier. Le physique attendrissant du pomsky permet l’accroissement des lieux d’élevage.
Son arrivée en France
Il y a une dizaine d’années, il apparaît en France où il est de plus en plus populaire, mais il n’est toujours pas reconnu par la Fédération cynologique internationale ni par la Centrale Canine.
Mise en place d’un standard
Pour contenir les dérives, certains éleveurs comme Royal Pomsky créent la Fédération française du pomsky. Ils tentent de se rapprocher du standard américain à travers les trois types de génération F1, F2 et F3. Ces dernières induisent des caractéristiques physiques différentes, qui s’affinent au fur et à mesure des croisements.
La tendance américaine préconise d’utiliser davantage de huskys que de spitz lors des reproductions. Cette pratique permet de préserver l’apparence unique du pomsky.
La reconnaissance de la race, un vrai défi
Pour garantir une uniformité accrue de la race pomsky, l’Association française du pomsky œuvre en suivant les normes établies et les conseils de santé, dans le but de prévenir la naissance de chiots atteints de graves maladies héréditaires. La prochaine étape est de faire reconnaître le pomsky comme race officielle par la FCI.
Notre avis sur la race et nos conseils
Au-delà de son adorable apparence de peluche, le pomsky reste un animal aux besoins complexes qu’il faut connaitre avant d’envisager toute adoption.
Un chien qui demande de la disponibilité
Bien sûr, l’air attendrissant du pomsky séduit en premier les acheteurs. Passez outre son apparence et évaluez concrètement ses besoins. Ce chien intelligent et énergique demande beaucoup de temps et de disponibilité mentale. En négligeant ces aspects, vous risqueriez d’induire des troubles du comportement.
Soyez un maître présent, bienveillant mais ferme
Actif, patient et capable de cohérence, le maître parfait d’un pomsky consacre du temps à son compagnon. Il sort souvent, évite les absences de longue durée et sait faire preuve de fermeté dans l’éducation. La bienveillance reste toujours de mise. Famille dynamique sans jeunes enfants, couple sportif, célibataire attentionné sont autant de profils qui correspondent au pomsky.
Avant d’adopter, renseignez-vous sur l’élevage
La rareté du pomsky sur le territoire français rend son adoption compliquée. Si vous trouvez un éleveur qualifié, vérifiez toutes ses références et visitez le domaine. Les chiens devraient bénéficier de conditions de vie salubres et épanouissantes, avec un extérieur et de nombreux jeux. En cas de doute, remettez-vous en aux associations nationales comme la Fédération française du pomsky.
Une reconnaissance officielle encore incertaine
Aucun organisme cynophile officiel ne reconnait le pomsky comme race à part entière. Cela implique qu’il ne peut pas concourir dans les épreuves nationales prestigieuses. L’avenir de sa reconnaissance reste d’ailleurs incertain. Plusieurs générations sont nécessaires avant de pouvoir établir un standard poussé d’un nouveau type de chien.
FAQ
Est-ce que le pomsky aboie beaucoup ?
L’un des parents du pomsky, le husky sibérien, est connu pour être vocal. Le pomsky peut donc se montrer bruyant, en particulier lorsqu’il rencontre des situations inhabituelles ou qu’il est excité.
Pourquoi le pomsky est-il si cher ?
Plusieurs raisons expliquent les tarifs si élevés du pomsky. Encore rare et récent, ce croisement connait une grande popularité grâce au web. Il fait intervenir deux races appréciées, le husky et le spitz, tout en étant complexe à obtenir. L’absence de reconnaissance officielle favorise aussi la hausse des prix en fonction de la demande.
Quel est le caractère d’un pomsky ?
C’est un chien affectueux, qui possède un réservoir important d’énergie. Intelligent et sociable, il se montre aussi indépendant ou têtu.